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Hier , le documentaire contesté par la chaîne Arte a été en fin de compte diffusé  suite à une polémique qui est arrivée jusqu’en Israel qui a condamné la censure de cette chaîne refusant de montrer l’antisémitisme musulman .

Ce documentaire « LES NOUVEAUX VISAGES DE L’ ANTISÉMITISME » a été réalisé par Joachim Schroeder et Sophie Hafner.

Ce documentaire, plein de vérité, a été enfin révélé à la communauté Juive de France, la réalité de l’antisémitisme actuel . Cette même communauté a enfin découvert une vérité souvent cachée dans les médias de ce pays qui ne veulent pas nommer l’antisémitisme musulman.

Le reportage a démontré clairement l’incitation à la haine d’Israël qui pousse aux attaques contre les Juifs dans un nouvel antisémitisme qui prend sa source dans un soi-disant « palestinisme exacerbé » qui n’est en fait que de l’antisémitisme caché.

On pouvait y découvrir les idéologies de gauche, et les islamo-palestiniens contre Israël, espérant que tous les juifs soient détruits et jetés à la mer, tout en reprenant la capitale du peuple Juif, Jérusalem.

Le film de 90 minutes, qui est d’une grande qualité, a été malheureusement suivi d’un débat qui a montré une fois de plus la mauvaise foi de cette chaîne et de son directeur.

Ce qui fut le plus étonnant dans ce débat, fut l’intervention d’un seul musulman et qui plus est, palestinien. Il se nomme Ahmad Mansour, il a vécu en Israel et connaît parfaitement l’antisémitisme palestinien. Il a dit que ce reportage ne disait que la vérité et que les autres ne voulaient pas l’entendre.

C’est ensuite  Mikael Wolfon qui a demandé au Directeur de programme de la chaîne ARTE Jorg Schonenborn, la raison pour laquelle après la production de ce documentaire,il leur a fallut attendu 6 mois pour se décider à ne pas le diffuser ?

Jorg Schonenborn a essayé tant bien que mal de se défendre mais s’est empêtré dans des explications abracadabrantes qui ont mis en relief sa partialité, et celle de ARTE.

Le directeur a dit qu’il n’a pas voulu diffuser ce film suite à son manque de professionnalisme, évitant soigneusement de parler de ces nombreux autres reportages contenant des erreurs historiques, graves et évidentes selon Mikael Wolfon .

Wolfon lui a prouvé en direct, en lui rappelant le film diffusé le jour même, juste avant le reportage de l’antisémitisme, sur la célèbre chanteuse égyptienne Oulm Khaltoum, et où la rédaction de ARTE s’est bien abstenue de rappeler que lors de la guerre israélo-arabe de 1967, la Guerre des 6 jours, le monde arabo-0musulman avait excité les foules en chantant « EDBAH ELIHOUD « EGORGE LES JUIFS « .

 » Il est certain que ce documentaire ne pouvait que déranger, puisqu’il apportait la preuve que l’Europe, en finançant abondamment l’autorité palestinienne  l’UNRWA, et le Hamas à Gaza, contribue, voire encourage, cet antisémitisme qui déferle sur la France, la Belgique et particulièrement l’Allemagne. », selon Sammy Ghozlan de la BNVCA qui a aussi été l’un des participants de ce documentaire.

 D’autre part, le BNVCA a condamné « le parti pris de Télérama qui attaque ce reportage en publiant la critique de trois prétendus intellectuels: Mr Johann Chapoutot (Professeur d’Histoire contemporaine), Mr Samuel Ghiles-Meilhac (Docteur en sociologie) et Mr Nicolas Lebourg (Chercheur) dont les arguments fallacieux démontrent qu’ils n’ont rien compris, ou voilent leur face sur ce nouveau phénomène antisémite qui s’est développé et inspiré de la propagande nazie des années 30 et qui fait fuir les citoyens juifs européens pour s’installer en Israël, aux USA ou au Canada. »

Le BNVCA s’engage à saisir le nouveau ministre français de l’éducation, Mr Jean Michel Blanquer, soucieux de lutter contre l’antisémitisme, pour lui recommander de faire projeter ce documentaire, dans les lycées et collèges de l’hexagone, comme cela avait été fait avec le film « Nuit et Brouillard ».