🔴Tsahal valide le plan pour reprendre Gaza : un siège millimétré, étape par étape, jusqu’à l’effondrement du Hamas

C’est désormais officiel : le chef d’état-major, le général Eyal Zamir, a donné son feu vert au plan opérationnel visant à prendre le contrôle total de la ville de Gaza. Après plusieurs semaines de débats internes et de tensions avec le ministre de la Défense, l’armée israélienne se prépare à l’une des plus vastes opérations militaires depuis la création de l’État hébreu. Un plan méthodique, conçu pour réduire au maximum les pertes civiles et pour porter un coup fatal à l’organisation terroriste Hamas, retranchée dans ce qui reste de son bastion urbain.

D’après les informations obtenues par Infos-Israel.News, la stratégie israélienne se déploiera en plusieurs phases, chacune pensée pour combiner efficacité militaire et responsabilité humanitaire. Un paradoxe que l’armée connaît bien : elle est contrainte de se battre contre une organisation terroriste qui instrumentalise sa propre population comme bouclier humain, tout en veillant à préserver au maximum des civils que le Hamas utilise comme monnaie d’échange.

Phase 1 : l’évacuation humanitaire
Avant même le premier blindé franchissant les lignes, l’armée prévoit de pousser massivement les habitants de Gaza-ville vers le sud de la bande. Les Américains, directement impliqués dans les discussions humanitaires, seront officiellement destinataires du plan. Des camps de tentes, déjà acheminés, sont en cours d’installation pour accueillir plusieurs centaines de milliers de déplacés. Pour Israël, l’objectif est clair : vider le terrain afin de réduire au strict minimum le risque de victimes civiles lors des combats. Mais dans la réalité, chacun sait que le Hamas tentera d’empêcher ce mouvement, préférant sacrifier sa population pour servir son narratif.

Phase 2 : l’encerclement
Une fois la majorité des habitants partis, Tsahal passera à l’étape du siège. Les forces terrestres encercleront progressivement la ville, quartier par quartier. Les premières manœuvres sont déjà visibles dans les zones sud, comme le quartier de Zeitoun. Le but : isoler Gaza-ville du reste de la bande et couper les lignes de ravitaillement. Une technique éprouvée, héritée des grandes batailles urbaines modernes, mais adaptée à la spécificité gazaouie : une ville truffée de tunnels, véritable métastase souterraine du Hamas.

Phase 3 : la pénétration progressive
À ce stade, l’armée israélienne engagera un travail de longue haleine. Les estimations tablent sur environ quatre mois d’opérations intensives pour contrôler la totalité de la ville. Les forces spéciales et unités du génie auront un rôle clé : neutraliser les réseaux souterrains, détruire les dépôts d’armes et traquer les derniers commandants terroristes. Le tout avec un soutien aérien massif et une coordination technologique d’une précision redoutable.

Un œil sur les otages
La difficulté supplémentaire réside dans la possible présence de certains otages dans la zone urbaine. Les équipes spéciales, sous la direction de l’ancien général Nitzan Alon, planifient des scénarios pour éviter au maximum de mettre en danger ceux qui pourraient être encore vivants. Une équation quasi impossible, mais qui montre à quel point le dilemme israélien est unique : sauver des vies tout en menant une guerre d’anéantissement.

Une bataille décisive pour l’avenir du Moyen-Orient
Il ne s’agit pas seulement de Gaza. Ce plan militaire est scruté par toutes les capitales de la région. La Jordanie, l’Égypte et l’Arabie saoudite observent attentivement la capacité d’Israël à briser une enclave terroriste devenue symbole de défi.

Pendant ce temps, en Europe, les chancelleries continuent de s’offusquer. L’Australie, déjà en pleine polémique pour avoir refusé un visa au député Simcha Rothman, ose donner des leçons de morale alors qu’elle ferme les yeux sur la montée en puissance de l’islamisme local. Mais sur le terrain, ce sont les soldats israéliens qui paieront le prix du courage, tandis que l’Occident débat dans ses salons climatisés.

Vers la chute finale du Hamas
Si le plan se déroule comme prévu, la ville de Gaza, dernier grand bastion terroriste au nord de la bande, tombera d’ici la fin de l’année. Ce ne sera pas la fin de la guerre contre le Hamas, mais un coup stratégique majeur. L’image d’un drapeau israélien hissé au cœur de la ville résonnerait comme une défaite retentissante pour Téhéran, Doha et Ankara, parrains plus ou moins assumés du terrorisme régional.

En résumé, le compte à rebours est lancé. Tsahal s’apprête à écrire un nouveau chapitre de son histoire militaire, aussi risqué que nécessaire. Les prochains mois seront déterminants, non seulement pour la sécurité d’Israël, mais pour l’équilibre de tout le Moyen-Orient.

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