Alors qu’Abu Mazen est plongĂ© dans les insultes contre IsraĂ«l suite au traitĂ© de paix, les organisations terroristes ont conclu qu’il Ă©tait moins coĂ»teux et plus rentable de mettre en place une infrastructure terroriste depuis la JudĂ©e et la Samarie que depuis Gaza, alors que des dizaines d’attaques terroristes ont Ă©tĂ© dĂ©jouĂ©es depuis le dĂ©but de l’annĂ©e. Et alors que l’Ă©pidĂ©mie fait rage, que la coordination s’est arrĂŞtĂ©e et que les salaires des services de sĂ©curitĂ© ont Ă©tĂ© rĂ©duits, des signes d’anarchie sont dĂ©jĂ  Ă©vidents sur le terrain.

Alors que les yeux de l’establishment de la dĂ©fense sont braquĂ©s sur la frontière de la bande de Gaza, ainsi que sur les frontières du Liban et de la Syrie, un phĂ©nomène inquiĂ©tant se dĂ©veloppe en JudĂ©e-Samarie : les organisations terroristes ont accĂ©lĂ©rĂ© les processus de rĂ©habilitation de leur infrastructure opĂ©rationnelle. Depuis janvier 2020, un large Ă©ventail d’infrastructures du Jihad islamique a Ă©tĂ© exposĂ© et des dizaines d’attaques, la plupart des fusillades, ont Ă©tĂ© dĂ©jouĂ©es. MalgrĂ© la fracture sĂ©curitaire et civile, les FDI et le GSS ont augmentĂ© le taux d’arrestations mais des signes d’anarchie ont dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  apparaĂ®tre sur le terrain.

Le Hamas accĂ©lère Ă©galement le rythme de ses activitĂ©s en JudĂ©e Samarie et tente de recruter de nouveaux terroristes. Alors qu’Abu Mazen est prĂ©occupĂ© par les insultes Ă  la suite de l’accord avec les Émirats arabes unis, les organisations terroristes ont conclu qu’il Ă©tait moins coĂ»teux et plus rentable de construire des infrastructures terroristes et de lancer des attaques terroristes depuis la JudĂ©e Samarie que depuis Gaza. Selon les donnĂ©es prĂ©sentĂ©es au ministre de la DĂ©fense Benni Gantz, une trentaine d’attaques terroristes de Tsahal et du GSS ont Ă©tĂ© rĂ©cemment dĂ©jouĂ©es.

La plupart des Ă©vĂ©nements qui ont Ă©tĂ© Ă©vitĂ©s sont des attaques par balles, mais incluent Ă©galement des initiatives d’enlèvement de civils et de soldats afin de libĂ©rer des milliers de prisonniers de sĂ©curitĂ© emprisonnĂ©s en IsraĂ«l. Le Hamas a compris que le prix qu’il paie pour les attaques terroristes en JudĂ©e Samarie est beaucoup moins cher que les attaques terroristes dans la bande de Gaza, de sorte que la motivation Ă  mener des attaques a augmentĂ©. Sans le travail de collecte de renseignements du GSS et les arrestations de Tsahal, qui, ensemble, complètent de petites sections du grand puzzle, ils les auraient transformĂ©s en terroristes, avertissant ainsi l’establishment de la dĂ©fense que le calme en JudĂ©e Samarie pourrait ĂŞtre trompeur.

Le 12 novembre, un coup dur a Ă©tĂ© infligĂ© au Jihad islamique. Après une longue pĂ©riode de roquettes provenant de la bande de Gaza et du front intĂ©rieur israĂ©lien, il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© d’Ă©liminer les assassinats ciblĂ©s, sur la recommandation du Shin Bet, le commandant de la brigade de l’organisation du nord de Gaza, Baha Abu al-Ata.

Le mĂŞme jour, selon des rapports Ă©trangers, l’armĂ©e de l’air israĂ©lienne a attaquĂ© la maison d’Akram Ajuri en Syrie, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint de l’organisation, Ziad Nahala. Les experts ont estimĂ© que si la bombe larguĂ©e ce jour-lĂ  Ă©tait plus grande, Ajuri aurait Ă©tĂ© Ă©liminĂ©e, mais cette nuit-lĂ , son fils et son garde du corps ont Ă©tĂ© tuĂ©s. L’objectif Ă©tait d’envoyer un message aux dirigeants de l’organisation selon lequel IsraĂ«l n’accepterait pas les lancements de roquettes depuis Gaza.

Selon des sources de renseignement de Tsahal, l’organisation a depuis changĂ© les règles du jeu dans la bande de Gaza et a contenu la retenue et la discipline, comme le Hamas, mais a continuĂ© Ă  faire des efforts pour rĂ©habiliter les infrastructures terroristes en JudĂ©e Samarie, en encourageant le siège de Damas et en dirigeant le siège de Gaza.

On peut estimer qu’en juillet-aoĂ»t, le tĂ©lĂ©phone de Nahala n’a pas cessĂ© de sonner. De l’autre cĂ´tĂ© de la ligne, il y a eu des rapports selon lesquels la vaste infrastructure de l’organisation dans les rĂ©gions d’HĂ©bron et de BethlĂ©em a Ă©tĂ© stoppĂ©e par les opĂ©rations du GSS et des FDI, qui ont interrompu la tentative d’attaques, mais les efforts pour recruter davantage d’activistes se sont poursuivis. Nuit après nuit, plus de 20 terroristes ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s et emmenĂ©s un par un dans les salles d’interrogatoire.

Le Jihad, comme d’autres organisations terroristes – le Hamas, le Front populaire, le Front dĂ©mocratique et mĂŞme le Hezbollah – continue de s’emparer de la JudĂ©e Samarie comme un terrain de jeu pour les activitĂ©s terroristes directes contre les soldats des FDI et les citoyens israĂ©liens. Pour comprendre ce qui se passe rĂ©ellement ces jours-ci sous terre en JudĂ©e-Samarie, et dans quelle mesure les bouleversements peuvent conduire Ă  une grave crise sĂ©curitaire, il faut commencer Ă  compter les activitĂ©s Ă  partir de septembre 2019.

Le mĂŞme mois, le prĂ©sident de l’AutoritĂ© palestinienne, Mahmoud Abbas, a dĂ©clarĂ© Ă  l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de l’ONU, lisant sur une page froissĂ©e, que si le Premier ministre israĂ©lien Benjamin Netanyahu annexait unilatĂ©ralement des territoires en JudĂ©e Samarie, il ordonnerait aux responsables de l’AP d’annuler tous les accords avec IsraĂ«l et en mĂŞme temps annoncera, sous la pression amĂ©ricaine, des Ă©lections gĂ©nĂ©rales en JudĂ©e Samarie, dans la bande de Gaza et Ă  JĂ©rusalem.

Le Hamas a dĂ©cidĂ© d’approuver toute dĂ©cision d’Abou Mazen dans le cadre d’une stratĂ©gie d’intĂ©gration dans l’Ă©lection et d’essayer de prendre le contrĂ´le de certaines parties de la JudĂ©e Samarie par les urnes. Dans le mĂŞme temps, les discours du prĂ©sident amĂ©ricain Donald Trump ont alertĂ© IsraĂ«l et l’AutoritĂ© palestinienne. Abu Mazen a compris qu’il ne recevrait pas le soutien de la Maison Blanche et a continuĂ© Ă  agir au niveau international pour rĂ©duire autant que possible les Ă©tapes d’IsraĂ«l et des États-Unis, vers la possibilitĂ© de mettre en Ĺ“uvre le plan d’annexion ou l’accord du siècle.

Fin janvier 2020, le territoire palestinien a commencĂ© Ă  brĂ»ler. Le graphique des manifestations dans le bureau du gĂ©nĂ©ral de brigade Yaniv Al-Aluf indique une forte augmentation, et une semaine plus tard, il y a eu un assaut contre les soldats de la brigade Golani Ă  JĂ©rusalem. Moins de 24 heures plus tard, une attaque contre la rĂ©gion de Binyamin a Ă©tĂ© evitĂ©e. C’Ă©tait dĂ©jĂ  plus qu’un signal pour IsraĂ«l que le territoire palestinien s’Ă©tait rĂ©veillĂ©.

Un mois plus tard, le virus corona s’est Ă©galement propagĂ© Ă  travers la JudĂ©e Samarie. Un groupe de voyageurs sud-corĂ©ens venus Ă  Beit Jala et BethlĂ©em a contribuĂ© Ă  rĂ©pandre largement le virus. L’AutoritĂ© palestinienne, avec l’aide de l’Administration civile placĂ©e sous le commandement du gĂ©nĂ©ral de brigade Rassan Aliyan, a rĂ©ussi Ă  endiguer une propagation plus radicale. La première vague de l’AutoritĂ© palestinienne a Ă©tĂ© couronnĂ©e de succès, après la mort de quelques Palestiniens de la maladie.

Abu Mazen a estimĂ© que l’intention d’IsraĂ«l d’annexer des territoires Ă©tait très sĂ©rieuse, a dĂ©cidĂ© le 19 mai que les accords avec IsraĂ«l Ă©taient rĂ©voquĂ©s et a dĂ©clarĂ© une rupture – civile et liĂ©e Ă  la sĂ©curitĂ© : le commandant de la division et les commandants de la brigade rĂ©gionale ne rencontreront pas leurs homologues palestiniens, pas de coordination de la sĂ©curitĂ© dans la zone A et si cela ne suffit pas, avec le temps, l’Administration civile sera obligĂ©e de contacter les citoyens palestiniens en JudĂ©e Samarie directement, et non par l’intermĂ©diaire des bureaux de l’AutoritĂ© palestinienne. La situation est lourde, oppressante, suscite des tensions et des soupçons, mais transfère surtout de lourdes responsabilitĂ©s Ă  IsraĂ«l. Le gĂ©nĂ©ral de brigade Aliyan a chargĂ© d’agrandir le centre d’appels et d’augmenter la rĂ©ception dans les bureaux de l’administration civile.

La date de l’annexion le 1er juillet est arrivĂ©e et rien ne s’est passĂ© sur le terrain. Les dĂ©clarations de Netanyahu sont devenues absurdes, mais le discours palestinien Ă©tait profondĂ©ment ancrĂ© dans ses engagements. Avant mĂŞme que l’AutoritĂ© palestinienne tente de comprendre s’il s’agit d’une farce politico-politique, la deuxième vague de corona de l’AutoritĂ© palestinienne a Ă©clatĂ©, mais cette fois, c’est une histoire complètement diffĂ©rente.

La discipline publique, en tant que miroir de la sociĂ©tĂ© israĂ©lienne, ne fonctionne plus comme avant, et la dĂ©connexion des civils avec IsraĂ«l a Ă©galement obscurci l’atmosphère de la première vague. Les responsables militaires du commandement central ont clarifiĂ© sans Ă©quivoque que “toute demande reçue sera honorĂ©e et plus encore. Nous les aiderons dans tout ce qu’ils demandent pour lutter contre le virus, mais les demandes ne sont pas arrivĂ©es car il y a effectivement une dĂ©connexion.”

Les consĂ©quences nĂ©gatives de l’Ă©pidĂ©mie sont bien visibles sur l’ensemble des territoires. HĂ©bron est devenue la capitale du Corona, derrière laquelle, d’autres points chauds du Corona en JudĂ©e Samarie. Il y a des centaines de centaines de cas de corona et des milliers de patients. La capacitĂ© d’inclusion des professionnels de la santĂ© palestiniens est dĂ©finie par les experts comme faible Ă  proche de la perte de contrĂ´le dans certains domaines. La crise est si rĂ©pandue qu’elle met Ă©galement en danger le public israĂ©lien, non seulement en JudĂ©e et en Samarie, mais aussi dans tout IsraĂ«l, puisque des dizaines de milliers de travailleurs palestiniens entrent chaque jour au travail.

La pression crĂ©Ă©e par le corona dans les territoires n’a pas nui Ă  l’incitation contre IsraĂ«l et Ă  la motivation des organisations terroristes Ă  rĂ©habiliter l’infrastructure terroriste ou Ă  dĂ©ployer des attaques terroristes. Apparemment, les donnĂ©es du commandement central au cours de l’annĂ©e Ă©coulĂ©e indiquaient une diminution du terrorisme et de la violence, mais des exemples de ce qui pourrait se passer dans le GSS si le GSS et le commandement central quittaient le gaz ne tardaient pas Ă  venir. Le combattant de la brigade Golani, Amit Ben Yigal, et le citoyen Shai Ohayon ont Ă©tĂ© tuĂ©s dans des attaques terroristes.

Les responsables de la sĂ©curitĂ© ont prĂ©cisĂ© cette semaine qu’il Ă©tait trop tĂ´t pour dĂ©terminer si nous Ă©tions au bord d’une nouvelle vague de terrorisme, compte tenu des donnĂ©es et de la rĂ©alitĂ© politique, Ă©conomique et sĂ©curitaire. La propagation du corona augmente Ă©galement la pression sur la rue palestinienne et se traduit par le dĂ©sespoir et la frustration. Si cela ne suffisait pas, l’accord entre IsraĂ«l et les Émirats arabes unis, avec le soutien des États arabes musulmans, n’a fait qu’intensifier le sentiment d’Ă©chec de l’AP.

Abu Mazen a grimpĂ© sur un grand arbre et a du mal Ă  en descendre, ont dĂ©clarĂ© des responsables de la sĂ©curitĂ© cette semaine, et au lieu de s’attaquer Ă  la solution des problèmes, il sombre dans une insulte et un sentiment de perte et, pire encore, il renoue avec les dirigeants du Hamas. La photo du haut responsable du Fatah Jibril Rajoub avec l’un des seniors du Hamas Salah Aruri a Ă©tĂ© reçue avec une sorte de choc en IsraĂ«l. Cette image imite ce jour noir Ă  Gaza en un seul clic de camĂ©ra, dans lequel des membres du Hamas ont jetĂ© des membres du Fatah sur les toits et leur ont tirĂ© une balle dans les genoux.

Des sources de sĂ©curitĂ© ont soulignĂ© que le processus Ă©tait très dangereux pour la stabilitĂ© de l’AutoritĂ© palestinienne et d’IsraĂ«l. Certains affirment qu’il s’agit de la tentative du Fatah de rĂ©pondre aux relations croissantes d’IsraĂ«l avec Muhammad Dahlan, un haut responsable du Fatah qui est l’ennemi jurĂ© d’Abou Mazen et perçu comme une demoiselle d’honneur de l’accord avec les Émirats – un autre point qui intensifie les tensions et accentue les critiques de l’AP contre IsraĂ«l.

Les responsables de l’AutoritĂ© palestinienne ont admis lors de discussions Ă  huis clos avec d’anciens responsables de la sĂ©curitĂ© qu’ils attendent les Ă©lections amĂ©ricaines pour voir si Trump est rĂ©Ă©lu ou remplacĂ© par Joe Biden, avec lequel ils peuvent pousser IsraĂ«l dans un coin et influencer le processus de rĂ©flexion de la Maison Blanche.

Le ministre de la DĂ©fense a ordonnĂ© Ă  Tsahal de ne pas abandonner les arrestations en JudĂ©e Samarie et de remĂ©dier aux failles de la barrière de sĂ©curitĂ©, Ă  travers lesquelles les travailleurs palestiniens titulaires de permis de sĂ©jour et de travail en IsraĂ«l prĂ©fèrent Ă©galement entrer. Ă€ IsraĂ«l pour mener des attaques terroristes. En outre, le GSS fonctionne selon une politique claire – aucun processus ou Ă©vĂ©nement ne peut empĂŞcher une opĂ©ration antiterroriste.

Étant donnĂ© que les dĂ©placements dans les territoires sont limitĂ©s en raison de la propagation du corona, l’establishment de la dĂ©fense suppose que les organisations terroristes seront en mesure de mener moins de programmes terroristes. Mais les chiffres de dĂ©tention indiquent la tendance inverse c’est : les chiffres de janvier Ă  juillet sont très similaires Ă  la mĂŞme pĂ©riode de l’annĂ©e dernière, un chiffre qui indique un niveau Ă©levĂ© de motivation pour mener une attaque dans l’immĂ©diat. “Une fois qu’il y a des informations du GSS sur un terroriste ou un autre, nous procĂ©dons Ă  des arrestations mĂŞme s’il n’y a pas de coordination de sĂ©curitĂ©”, ont expliquĂ© les responsables du commandement central. Ils ont ajoutĂ© que “bien qu’entrer dans la zone A aujourd’hui soit plus sensible qu’auparavant, nous continuons de toutes nos forces et de toutes nos opportunitĂ©s. MĂŞme au plus fort de l’Ă©poque du corona, des arrestations ont Ă©tĂ© effectuĂ©es. “Pendant ce temps, les activitĂ©s extensives du siège du Hamas Ă  l’Ă©tranger, en mettant l’accent sur le siège de Gaza qui opèrent 24 heures sur 24 pour provoquer des attaques terroristes en JudĂ©e et en Samarie, ne peuvent ĂŞtre ignorĂ©es.

Un autre phĂ©nomène qui inquiète le ministre de la DĂ©fense et qui se dĂ©veloppe en JudĂ©e-Samarie est la coupure de l’appareil sĂ©curitaire palestinien. La dĂ©cision d’Abou Mazen de ne pas recevoir les indemnitĂ©s de dĂ©part, qui constituent la moitiĂ© de son budget (environ 9 milliards de shekels sur 18 milliards en 2018), et conformĂ©ment aux rĂ©ductions de salaires des fonctionnaires, de la police et des services de sĂ©curitĂ©, est un effet boule de neige.

A travers les yeux d’un officier palestinien, c’est une histoire complètement diffĂ©rente : ses commandants lui disent qu’il y a une dĂ©connexion avec IsraĂ«l, et automatiquement IsraĂ«l devient une sorte d’ennemi. La relation entre les parties se refroidit, et avec le temps, il est difficile de reconstruire la relation et de ramener la coopĂ©ration dans son Ă©tat antĂ©rieur, et lorsque le salaire est rĂ©duit, elles recherchent des complĂ©ments de salaire ailleurs. C’est un point dangereux, car les terroristes pĂ©nètrent automatiquement dans cet espace comme complĂ©ment de revenu.

Les problèmes dans toute la JudĂ©e et la Samarie ne s’arrĂŞtent pas Ă  ces phĂ©nomènes. Les forces de sĂ©curitĂ© palestiniennes ne se dĂ©placent plus librement d’une rĂ©gion Ă  l’autre parce qu’il n’y a ni sĂ©curitĂ© ni coordination civile. Les responsables de Tanzim ont relevĂ© la tĂŞte et il y a eu ceux qui ont dĂ©fiĂ© l’AP, tandis que les organisations terroristes se permettent aussi d’accĂ©lĂ©rer les processus nĂ©gatifs, qui rongent de façon stable car ils n’ont pas vraiment de leviers de pression sur eux. Les responsables de la sĂ©curitĂ© disent qu’il y a des signes clairs d’anarchie dans la rĂ©gion et une augmentation de 10% des affaires criminelles.

Le meurtre du frère de Hussein al-Sheikh (chef du Service des renseignements gĂ©nĂ©raux en JudĂ©e Samarie- AB) en est l’expression la plus proche. Il y a aussi de nombreuses arrestations, oĂą les forces de sĂ©curitĂ© palestiniennes sont battues. Il n’y a pas beaucoup d’endroits oĂą ils ne peuvent tout simplement pas y pĂ©nĂ©trer.

Il faut ajouter la tendance très nĂ©gative Ă  libĂ©rer les prisonniers de sĂ©curitĂ© lourde, qui ont Ă©tĂ© condamnĂ©s au dĂ©but de la deuxième Intifada avec des peines de 18 Ă  15 ans, et rĂ©cemment libĂ©rĂ©s de prison, et Ă  dĂ©battre de l’opportunitĂ© de retourner au terrorisme.

Pendant ce temps, les prisonniers libĂ©rĂ©s s’intègrent bien dans le processus au nom du Hamas, qui vise Ă  recruter des terroristes pour l’organisation. C’est un cercle social qui nourrit le soutien au terrorisme et sert d’outil pour recruter des terroristes, des assistants pour mener des attentats-suicides, des attentats Ă  la bombe, des fusillades et des enlèvements – des Ă©vĂ©nements qui auraient pu se produire en JudĂ©e-Samarie sans la machine Ă  contrecarrer huilĂ©e du GSS. Selon des sources sĂ©curitaires, il y en a qui ne se dĂ©marquent pas du tout, et qui posent un danger non seulement pour la stabilitĂ© de l’autoritĂ©, que pour Israel.

 

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