🔴 Censure scandaleuse : Instagram supprime les photos d’Evyatar David en captivité à Gaza

La polémique enfle en Israël et dans la diaspora juive après la décision d’Instagram de supprimer les photos d’Evyatar David, otage israélien détenu par le Hamas depuis près de deux ans. Ces images, publiées par la page officielle militant pour sa libération, ont été retirées par le réseau social au motif qu’il s’agissait de « contenu offensant ». Une justification jugée insupportable par les proches de l’otage et par de nombreux militants, qui dénoncent une tentative de censure de la vérité. « Ce qui est réellement offensant, ce n’est pas de voir la souffrance d’un jeune homme arraché à sa famille, mais de savoir qu’il subit un enfer depuis près de deux ans dans les tunnels de Gaza », résume un membre du comité de soutien.

L’affaire révèle une réalité glaçante : alors qu’Evyatar et d’autres Israéliens croupissent encore dans les geôles du Hamas, la communauté internationale détourne le regard. Les réseaux sociaux, censés servir de caisse de résonance à la voix des opprimés, deviennent paradoxalement des instruments d’occultation. Les proches d’Evyatar rappellent que ces photos ne relèvent pas de la propagande mais d’un cri d’alerte. Montrer la réalité de la captivité, aussi dure soit-elle, c’est secouer les consciences mondiales et rappeler à quel point l’inaction face à ces crimes est intolérable. En supprimant ces contenus, Instagram offre involontairement un service aux bourreaux, en effaçant les preuves de leur barbarie.

La réaction des familles des otages et des associations juives a été immédiate. Sur les réseaux alternatifs, de nombreux internautes ont partagé à nouveau les photos censurées en appelant à une diffusion massive. Les slogans « #FreeEvyatar » et « #DontHideTheTruth » se sont multipliés, transformant la tentative de censure en une campagne mondiale de sensibilisation. « On ne peut pas prétendre protéger la sensibilité des utilisateurs tout en piétinant la vérité et en trahissant les victimes », a déclaré un député israélien, rappelant qu’Israël se bat non seulement sur le terrain militaire contre le Hamas, mais aussi sur le terrain médiatique contre une machine de désinformation qui vise à blanchir le terrorisme palestinien et à minimiser l’horreur vécue par les otages.

Ce scandale soulève également une question fondamentale : pourquoi l’Occident, si prompt à s’émouvoir pour certaines causes, reste-t-il silencieux face à la souffrance des otages israéliens ? Les images d’Evyatar David devraient résonner comme un électrochoc. Elles rappellent les heures les plus sombres de l’histoire juive, quand le monde a préféré détourner les yeux devant la Shoah. Les militants le martèlent : parler d’« offensant » à propos de ces photos, c’est renverser la responsabilité. Ce n’est pas la victime qui choque, c’est le crime qui lui est infligé. Ceux qui veulent museler cette vérité participent, consciemment ou non, à l’effacement de la mémoire et à la banalisation du terrorisme.

En conclusion, la censure d’Instagram ne fera qu’amplifier la détermination des défenseurs de la liberté et de la vérité. Les Israéliens, soutenus par leurs alliés, continueront de diffuser les images, les témoignages et les récits des otages, jusqu’à leur libération. Il ne s’agit pas seulement d’une bataille de communication : c’est une bataille morale et existentielle. Evyatar David et les autres captifs incarnent l’innocence sacrifiée que le monde refuse de voir. Face à cela, Israël doit rester debout, uni et déterminé à ne laisser aucune voix étrangère étouffer sa vérité. Car cacher l’horreur, c’est condamner l’humanité à la répéter.


Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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