Dans l’ombre de la fusillade sur le mont Hermon ce week-end dernier, le niveau d’alerte dans le nord a été relevé et le restera jusqu’à nouvel ordre, sous réserve de l’aggravation de la situation. Parallèlement, le commandement du Pikoud Haoref et le ministère de la Défense ont récemment transféré des abris dans des villes menacées à travers le pays contre les roquettes et des missiles afin de renforcer leur sentiment de sécurité. Cela est particulièrement vrai pour les espaces ouverts tels que les parcs, les gares routières et les centres de population, qui n’ont actuellement pas d’abris.
Le commandement de l’intérieur a également décidé que les abris mobiles seraient stationnés dans toutes les villes conformément à la décision de l’officier de sécurité, mais sous la supervision des officiers du commandement de l’intérieur dans le même district.
La nouvelle défense, financée par le ministère de la Défense et Ackerstein, a fait l’objet d’améliorations fondées sur des expériences qui, selon ses fonctionnaires, ont été réalisées conformément au développement de menaces de roquettes à longes distances. Une lourde porte en fer a également été installée pour chaque abri afin d’empêcher l’entrée d’éclats d’obus.
Samedi dernier, deux lancements ont été identifiés depuis le territoire syrien vers Israël. Selon le site Hermon, ils auraient heurté le câble d’un téléphérique inactif en été. On estime que les roquettes ne seront pas interceptées car il n’y avait pas de randonneurs sur le mont Hermon et qu’elles devaient donc tomber dans des zones dégagées.
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