Les versions continuent à se multiplier en ce qui concerne les causes des « dysfonctionnement » GPS en Israël et dans la Méditerranée orientale. Cette fois-ci, une source du ministère de la Défense indique encore des détails sur la Russie.

Le journal Ha’aretz publie une version d’un spécialiste militaire qui affirme que les violations résultent de l’action d’un certain dispositif fixe, comme l’indique la durée des pannes.

L’appareil peut être placé à la fois sur le sol et sur un navire militaire au nord de la Syrie.

L’installation utilisée pour les interfé-rences est relativement simple et peu coûteuse (environ 20 000 dollars) et peut être achetée en Russie et en Ukraine.

La distance à laquelle l’appareil fonctionne est de 500 kilomètres.

Le spécialiste estime également que l’installation n’est pas située près des frontières avec Israël, au Liban ou en Syrie, car son travail dans ce cas est entravé par le terrain.

Il qualifie cet incident d’inhabituel – une attaque aussi longue sur des aéroports civils n’avait pas encore été entreprise.

La version de la participation russe au problème a déjà été entendue hier et vendredi matin, il a été fait état d’un «sentier iranien».