Reportage en Egypte : À la fin des négociations, l’Egypte a réussi à mettre fin à la crise de l’accord provoquée par des circonstances techniques. La mise en œuvre de la deuxième phase de l’accord s’est déroulée comme prévu
Le bureau du Premier ministre a déclaré : « Netanyahu a évalué la situation avec toutes les forces de sécurité pour s’assurer du retour du second groupe ».
Il s’agit d’environ 13 Israéliens et 7 étrangers qui se dirigent vers le terminal de Rafah.
Dans le contexte du retard du Hamas à libérer les personnes enlevées au motif qu’Israël a violé les termes de l’accord, le Premier ministre Netanyahu devrait convoquer une consultation téléphonique avec les membres du cabinet de guerre.
Plus tôt, une source diplomatique avait menacé que si le Hamas retardait la libération jusqu’à la nuit, Israël pourrait reprendre ses manœuvres terrestres dans la bande de Gaza.
Le Premier ministre Benyamin Netanyahou procède à une évaluation téléphonique de la situation avec les membres du cabinet de guerre réduit suite au retard dans la libération des personnes enlevées.
Au cours de la consultation, ils discutent de la question de savoir ce qu’il adviendra de l’accord et ce que fera Israël si les personnes enlevées ne sont pas libérées avant minuit.
Les responsables politiques ont déclaré qu’ils ne savaient pas si la crise serait résolue, et Israël se prépare également à la possibilité que les personnes enlevées ne soient pas libérées.
Entre temps, les médias égyptiens ont rapporté que des camions humanitaires continuent d’entrer dans la bande de Gaza, malgré le retard du Hamas à libérer les personnes enlevées. Cela indique qu’Israël a respecté l’accord et, après une inspection, a autorisé 200 camions transportant de l’aide humanitaire à atteindre le terminal de Rafah – mais ils se sont retrouvés coincés dans un embouteillage au terminal, d’où des retards dans leur entrée dans la bande de Gaza. En revanche, les reportages de la télévision égyptienne ne montrent pas de chargement de camions au terminal de Rafah.