« Tôt ou tard, cette région (sud et centre de la Turquie, Jordanie, Syrie, Liban) connaîtra un tremblement de terre de magnitude 7,5 », a-t-il écrit.
Sooner or later there will be a ~M 7.5 #earthquake in this region (South-Central Turkey, Jordan, Syria, Lebanon). #deprem pic.twitter.com/6CcSnjJmCV
— Frank Hoogerbeets (@hogrbe) February 3, 2023
Le message est maintenant devenu viral avec plus de 50 000 reposts.
Mais apres la tragédie, le sismologue a donné de mauvaises nouvelles pour Israël. Après le tremblement de terre, Hoogerbits a écrit que « de forts tremblements de terre dans le centre de la Turquie ont provoqué un changement significatif dans la répartition des contraintes dans toute la région, avec une activité sismique jusqu’en Palestine (Israel). De toute évidence, la région est en train de se réinstaller. ».
La nouvelle marque est située approximativement au centre d’Israël, non loin de la mer Morte et de Jérusalem.
The large earthquakes in Central Turkey have caused a significant change in stress distribution throughout the region, with seismic activity down to Palestine as a result. Clearly, the region is resettling. pic.twitter.com/KZ9LzjAm6c
— Frank Hoogerbeets (@hogrbe) February 8, 2023
Le sismologue ajouté qu’il y a un potentiel d’activité sismique plus forte dans ou près de la bande violette de 1 à 4 jours. Ceci est une estimation. Les autres régions ne sont pas exclues. Les pays sur la bande violette sont le Japon, l’Indonesie. Mais il rassure en ajoutant » que les bandes violettes n’indiquent PAS une zone de rupture potentielle (tremblement). Ils marquent des régions au moment des fluctuations atmosphériques par rapport au Soleil et un tremblement plus important peut se produire dans ou près de cette bande. Je l’ai expliqué plusieurs fois dans des vidéos. Pas de place pour les idées folles. »
Potential for stronger seismic activity in or near the purple band 1-4 days. This is an estimate. Other regions are not excluded. pic.twitter.com/nyPeruMtgP
— SSGEOS (@ssgeos) February 9, 2023
Le chercheur travaille pour le Solar System Geometry Survey (SSGS), un institut qui se présente comme une institution qui étudie l’activité sismique.