Un centre de renseignement et d’opérations spéciales dans le nord de l’Irak, appartenant prétendument au Mossad, a été attaqué par un « groupe non identifié », selon un rapport partagé par plusieurs sources médiatiques semi-officielles et officielles iraniennes. Le rapport n’a été confirmé par aucune source officielle.

Des victimes ont été signalées dans l’attaque présumée, ont déclaré des sources irakiennes aux médias iraniens, qui ont déclaré que plus de détails et d’images seraient bientôt publiés. Les rapports iraniens ont affirmé que les victimes étaient des « forces israéliennes », bien qu’il ne soit pas clair si elles se référaient à des citoyens israéliens ou à des étrangers travaillant avec Israël.

Un rapport sur l’incident présumé partagé par l’agence de presse semi-officielle iranienne Fars a déclaré que « les médias et les sources irakiennes ont à plusieurs reprises mis en garde contre les activités des éléments sionistes » dans la région du Kurdistan irakien.

Le rapport n’a été confirmé par aucune source officielle, mais a été publié par l’agence de presse semi-officielle Fars, Al-Alam News, appartenant à la société de médias d’État iranienne, et Press TV, un réseau d’information en anglais. Go

Le rapport semble provenir d’une source d’information basée sur Telegram appelée Sabreen. Le rapport cite une « source de sécurité » anonyme.

Le rapport iranien fait suite à une attaque israélienne présumée contre l’installation nucléaire iranienne de Natanz et des rapports sur une série d’attaques de l’Iran et d’Israël contre les navires maritimes de l’autre pays dans la mer Rouge et près du golfe Persique ces dernières semaines.

Un navire israélien nommé Hyperion et appartenant à une société israélienne a été attaqué mardi au large de l’émirat de Fujaïrah aux Émirats arabes unis, au Liban.

Les responsables iraniens ont averti ces derniers jours qu’ils répondraient à une attaque israélienne présumée qui aurait affecté une sous-station électrique d’une installation souterraine d’enrichissement d’uranium à Natanz.

Les tensions étaient déjà fortes entre les deux nations à la suite de l’assassinat présumé par Israël du scientifique nucléaire iranien Mohsen Fakhrizadeh et des tentatives présumées de l’Iran de mener des attaques de vengeance