Ce jeudi matin, le calme relatif de Kfar Yona a été violemment brisé. Un attentat à la voiture bélier a frappé une station d’autobus à l’entrée de la ville, sur la route 57. Huit civils israéliens ont été blessés — deux dans un état modéré, six plus légèrement — par un conducteur terroriste qui a foncé délibérément sur eux.
Le suspect, au volant d’une Toyota blanche immatriculĂ©e israĂ©lienne, a immĂ©diatement abandonnĂ© son vĂ©hicule et a fui la scène Ă pied. Un vaste dispositif de recherche a Ă©tĂ© lancĂ©, impliquant la police, des unitĂ©s spĂ©ciales, des chiens pisteurs et un hĂ©licoptère. Dans l’instant, Tsahal a bloquĂ© les routes menant Ă Tulkarem, ville d’oĂą proviennent de nombreux assaillants.
Ce 13e attentat par véhicule-bélier depuis le début de 2025 prouve une fois de plus que les rues israéliennes sont devenues le théâtre d’une guerre asymétrique menée par des terroristes qui se fondent dans la population, utilisant parfois des plaques israéliennes pour brouiller les pistes.
Une scène de guerre : « Tous étendus, en sang »
Les témoignages glaçants affluent. Kinneret Hanouka, témoin direct, raconte :
« J’étais juste derrière le véhicule. Il a foncé, il a coupé la route à pleine vitesse, a accéléré au moment précis où les gens traversaient. Il les a écrasés comme des dominos. Il y avait des hurlements, des corps au sol, du sang, c’était l’horreur absolue. »
Elle décrit aussi le véhicule du terroriste comme étant « vieux, poussiéreux et puant ». Le chauffeur avait prémédité son acte, cherchant un point d’impact optimal : une station bondée, en pleine heure de pointe. Un carnage délibéré.
Et pourtant… les condamnations internationales restent timides
Alors que les caméras du monde se braquent sur Gaza dès qu’un bâtiment s’effondre (parfois même sans vérification de l’origine du tir), le silence est quasi-total lorsque des civils israéliens sont délibérément visés. Où sont les appels à la retenue ? Où sont les ONG ? Le Conseil de sécurité ? Tsahal est diabolisé quand il se défend, mais l’assassin palestinien est traité comme un « résistant » !
Pendant ce temps, les familles israéliennes comptent les blessés, les victimes, les morts… et les traumatismes à vie.
Et pendant ce temps, l’Autorité Palestinienne continue de verser des salaires aux terroristes incarcérés, financés en partie par les fonds européens, notamment français.
Sarah Knafo, députée française, dénonçait il y a quelques jours le financement par l’AFD de projets d’« égalité de genre » dans la gestion budgétaire de l’Autorité Palestinienne. On rêve ! Lire ici : https://infos-israel.news/category/alerte-info-24-24/
Une logique de haine cultivée, encouragée, enseignée
Les actes de terreur comme celui de ce matin ne sont pas des « incidents isolés ». Ils s’inscrivent dans une doctrine, celle qui anime le Hamas et alimente une jeunesse palestinienne abreuvée de glorification de la mort, de haine du Juif et de nihilisme islamiste.
L’objectif n’est pas la libération, mais l’élimination d’Israël et de ses habitants. Et ça, ils ne s’en cachent pas : « Du fleuve à la mer… », le slogan est clair.
C’est exactement ce que Tsahal combat aujourd’hui à Gaza : une infrastructure terroriste enracinée dans les écoles, les mosquées, les hôpitaux, les maisons — et qui lance ses sbires en Israël pour tuer des innocents. Pendant ce temps, les soldats israéliens tombent chaque semaine, défendant un peuple qu’on accuse encore… d’exister.
👉 Lire aussi : https://infos-israel.news/category/solidarite-avec-nos-soldats-de-tsahal/
Assez de cette inversion accusatoire
Un acte terroriste n’est pas une « réaction » à une occupation. C’est une conséquence directe d’une idéologie fanatique qui enseigne la haine et l’anéantissement comme seule voie possible.
Pendant que certains manifestent à Paris, Londres ou Bruxelles aux cris de « Israël assassin », les terroristes piétinent des enfants, foncent dans des arrêts de bus et tirent sur des familles dans leur lit. Le tout sous l’étiquette honorable de « résistance ».
Israël se défend, Israël prévient, Israël soigne
Pendant ce temps, ce sont les hôpitaux israéliens qui reçoivent tous les blessés — sans distinction d’origine — et ce sont les policiers et soldats israéliens qui traquent l’ennemi dans les champs, les ruelles et les villes arabes, souvent au péril de leur vie.
Alors non, il n’y a pas de génocide à Gaza. Il y a une guerre, déclenchée par le Hamas, et des attentats, soutenus par ses relais locaux. Il est temps de le dire. Il est temps de le hurler.
Ă€ lire aussi sur nos partenaires :
đź”— https://rakbeisrael.buzz/
đź”— https://alyaexpress-news.com/