Par Infos Israel News – 24 juin 2025

Le monde retient son souffle. En quelques minutes, les principales agences de presse israéliennes et internationales ont diffusé une série d’alertes dramatiques : l’Iran s’apprêterait à lancer une attaque militaire de grande envergure contre des bases américaines au Moyen-Orient, et tout particulièrement au Qatar. Cette escalade marque un tournant stratégique et laisse présager une guerre régionale aux conséquences mondiales.


Une vague d’alertes dans les médias

En l’espace de six minutes, les chaînes d’information les plus sérieuses ont publié successivement :

  • Strugim (19h22) : « Les États-Unis annoncent : Attaque iranienne – immĂ©diate »
  • 0404 News (19h21) : « Trump convoque en urgence le Conseil de sĂ©curitĂ© nationale »
  • Haaretz (19h20) : « Évaluation amĂ©ricaine : une attaque contre les bases au Qatar est imminente »
  • Ynet (19h19) : « L’Iran dĂ©place ses lanceurs Ă  distance opĂ©rationnelle »
  • Channel 7 (19h17) : « Menace directe sur la base amĂ©ricaine d’Al-Udeid »
  • Kippa (19h17) : « L’attaque visera les États-Unis, pas IsraĂ«l – pour l’instant »
  • Srugim (19h16) : « L’Iran lancera une attaque de grande ampleur dans les prochaines heures »

En langage diplomatique, cela s’appelle une alerte rouge généralisée.


Une attaque « pas contre IsraĂ«l »… mais pour combien de temps ?

Un détail mérite l’attention : plusieurs sources indiquent que l’Iran ne ciblera pas Israël dans un premier temps. Une manière de diviser les réactions occidentales, et de punir les États-Unis sans provoquer un front global.

Mais les dirigeants israéliens n’en sont pas dupes. Une attaque contre les troupes américaines au Qatar – notamment sur la base stratégique d’Al-Udeid, siège du CENTCOM – équivaut à frapper l’ensemble de l’architecture militaire occidentale dans la région.

Israël, bien qu’épargné « pour l’instant », se prépare à une extension du conflit, car il est évident que le régime iranien ne se contentera pas d’une frappe ponctuelle.


Trump convoque le Conseil de sécurité nationale

Face à l’urgence, le président Donald Trump – dans son second mandat présidentiel et plus combatif que jamais – a convoqué le Conseil de sécurité nationale en urgence, moins d’une heure après les premiers signaux. Selon les sources proches de la Maison-Blanche, des frappes préventives américaines ne sont pas exclues.

Le message de Trump est clair :

« Les États-Unis n’hésiteront pas à frapper en retour, avec une force que personne n’a encore vue. »


Pourquoi maintenant ? Une logique de chaos contrôlé

Pourquoi l’Iran frapperait-il maintenant ?
Plusieurs éléments se conjuguent :

  1. Les frappes israéliennes sur la prison d’Evin, le Basij, Fordow et les centres idéologiques du régime ont humilié Téhéran.
  2. La destruction partielle des infrastructures nucléaires iraniennes a freiné, voire gelé, son programme d’enrichissement.
  3. La pression intérieure en Iran, entre effondrement économique et grogne populaire, oblige le régime à créer un ennemi extérieur.

Ajoutez à cela les liens croissants avec la Russie, les menaces de Medvedev sur une possible aide nucléaire, et vous obtenez une tempête géopolitique parfaite.


Le Qatar au centre de la tourmente

La petite monarchie du Golfe, longtemps perçue comme un médiateur ambigu entre l’Occident et l’axe iranien, se retrouve aujourd’hui en première ligne.

  • L’espace aĂ©rien du Qatar est fermĂ©
  • Les compagnies aĂ©riennes dĂ©tournent leurs vols
  • Les forces amĂ©ricaines sur place sont en Ă©tat d’alerte maximale

Mais au-delà de la logistique, c’est la crédibilité américaine dans la région qui est en jeu.


Et Israël dans tout ça ?

Israël, qui a assumé seul de nombreuses frappes préventives depuis deux semaines, observe avec gravité mais sans surprise. Tsahal a renforcé la défense aérienne, les services de renseignement sont mobilisés, et les hôpitaux en zone frontalière sont en alerte.

Mais contrairement à d’autres pays, Israël n’a pas besoin de fermer son ciel.
Il le protège.

Israël comprend que ce conflit n’est plus seulement une guerre entre États, mais une bataille idéologique mondiale entre :

  • Un camp qui sanctifie la vie, la libertĂ© et la sĂ©curitĂ© ;
  • Et un camp qui glorifie la mort, la terreur et la domination.

L’Europe absente… comme d’habitude

Pendant que les drones s’activent, les F-35 décollent, et les missiles se préparent à pleuvoir, l’Europe s’inquiète… de la détention de deux citoyens français à Evin.

Alors que les États-Unis risquent une guerre régionale, et qu’Israël est en état de guerre prolongée, les capitales européennes appellent à la retenue.

Retenue ? Quand l’Iran rapproche ses lanceurs vers le Golfe ? Quand les services de renseignement parlent d’un lancement imminent ?

Le silence européen est plus qu’un aveu de faiblesse : c’est une complicité morale.


Scénarios possibles : riposte limitée ou guerre ouverte ?

Plusieurs hypothèses circulent :

  1. Attaque de missiles balistiques contre la base d’Al-Udeid au Qatar (scénario probable)
  2. Attaques simultanées via des proxies en Irak, Syrie, Liban ou Yémen (scénario hybride)
  3. Cyberattaque massive contre des infrastructures occidentales dans le Golfe (scénario asymétrique)
  4. Attaque conventionnelle suivie d’un appel diplomatique à la paix (scénario manipulateur)
  5. Début d’une guerre régionale multidimensionnelle (scénario catastrophe)

Conclusion : la paix passe par la fermeté

Ce soir, le monde ne danse pas sur un volcan. Il vit dessus.

Les choix des prochaines heures détermineront si nous basculons dans un conflit ouvert ou si la dissuasion fonctionne encore.

Israël a agi.
Les États-Unis s’apprêtent à réagir.
L’Iran menace.
Et le Qatar ferme ses portes.

Mais ce qui est certain, c’est que la faiblesse n’est plus une option. Et que dans cette partie d’échecs sanglante, le roi n’est pas l’Iran, ni la Russie, ni même les États-Unis.

Le roi, c’est la vérité.
Et ce soir, elle est aux couleurs d’Israël.

Infos Israel News

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