Le groupe de protestation appelé « Les enseignants malades » intensifie sa lutte contre la réduction de leurs salaires. Plus de 2 000 enseignants et éducateurs ont déjà signé des lettres de démission.
🔔 Que se passe-t-il ?
- De nombreuses écoles resteront fermées mercredi (7 mai).
- Les parents ont reçu des messages annonçant l’annulation ou la réduction de la journée scolaire.
- Officiellement, les absences sont dues à des maladies, mais il s’agit d’une grève déguisée.
- Le ministère de l’Éducation tente de réprimer la protestation en demandant aux directeurs d’écoles de signaler les absences, mais certains refusent de coopérer.
📣 Les revendications des enseignants :
- Suppression totale des coupes budgétaires.
- Amélioration des conditions salariales.
- Reconnaissance complète en tant que fonctionnaires d’État.
🗺️ État de la grève dans plusieurs villes :
- Hod HaSharon, Netanya, Ra’anana – fermetures totales ou partielles d’écoles.
- Haïfa, Eilat, Nahariya, Rishon Lezion, Kiryat Shmona, Ashdod – écoles ouvertes normalement.
- Beersheva – 9 écoles primaires et un jardin d’enfants sont restés fermés.
- Rehovot – 106 enseignantes ont déclaré être malades, 25 jardins d’enfants sont fermés.
⚖️ Réactions :
- Certains directeurs refusent de jouer le rôle de « bras armé » du ministère.
- L’organisation des directeurs « Manhigim » interdit à ses membres de fournir les données d’absences.
- Le syndicat des enseignants du secondaire propose un soutien juridique aux enseignants sanctionnés.
🧑🏫 Témoignage d’une enseignante gréviste :
- Le système éducatif est « mis en pause ».
- Les enseignants affirment que leur représentation syndicale ne les défend pas correctement.
- Une proposition alternative d’accord est en préparation, mais confidentielle pour l’instant.
🤝 Soutiens :
- Le mouvement reçoit un soutien public massif, y compris de parents, de municipalités et d’associations.
- Malgré les pressions, les enseignants se disent déterminés à poursuivre la lutte jusqu’à un dialogue réel avec les décideurs.

