Ronen Plout, le Maire de Nazareth Illit a visité il y a peu de temps la soldate qui a été attaquée aujourd’hui à Jénine et a été hospitalisée au centre médical de Emek à Afoula. Le maire nous transmet des nouvelles de son état et un message de sa famille.
«Elle a traversé beaucoup d’épreuves, j’ai parlé avec le médecin et Sivan passera une ou deux nuits supplémentaires. Elle a fait de nombreux examens.
Sa mère comme toute les mères est très en colère. Elle demande à chacun de laisser sa fille se reposer, et de ne pas venir la voir pour l’instant.
Sivan est un résidente de Nazareth Illit depuis des années. Elle a envoyé un message et remercier tous les israéliens. Toute la famille ne comprend pas comment une telle situation est arrivée et comment les soldats sont entrés à Jénine. La famille est informée par les médias, mais reste en attente de la déclaration de Tsahal pour comprendre ce drame »
Tsahal essaie de comprendre comment les deux soldats qui ont été attaqués par une foule en colère à Jénine sont entrés dans la ville . La question à l’étude est la suivante: pourquoi les soldats n’ont-ils pas remarqué le panneau d’avertissement dans la zone A – qu’ils ne l’aient pas vu ou qu’ils l’aient ignoré?
Le véhicule militaire appartenant à la division des TIC est entré à Jénine à cause d’une erreur de navigation avec l’application WAZE, qui a conduit les soldats dans Jénine par erreur : « Nous ne pouvons pas faire référence à des informations de voyage spécifiques, mais nous soulignons que l’application a un paramètre par défaut dédié qui empêche la navigation à travers les zones marquées comme dangereuses ou interdites aux Israéliens », a déclaré la compagnie WAZE.
La documentation de l’incident, dans lequel un membre des services de sécurité palestiniens a été photographié en essayant de protéger les soldats, prouve une fois de plus l’importance de la coordination de la sécurité avec l’Autorité palestinienne. Après l’incident, les policiers palestiniens ont pris les soldats dans leur véhicule et les ont transférés à l’administration civile. Plus tard, ils sont allés chercher le véhicule militaire et l’ont transféré au poste de contrôle de Jalameh, où il a été remis aux FDI, et l’une des armes des soldats a été volée dans le véhicule.
