Le lundi 1er novembre deviendra une journée « noire » pour les consommateurs, l’essence redeviendra plus chère, ce qui déclenchera indirectement une vague de hausses de prix dans l’ensemble de l’économie.
Le prix de l’essence augmentera de 24 agorot d’un seul coup et un litre de 95e coûtera 6,63 shekels, c’est une augmentation du prix qui se fait normalement en trois ans, car en général, en un an, le prix d’un litre d’essence augmente de 1 shekel. Israël est ancré dans l’économie mondiale, où les prix du carburant augmentent depuis plusieurs mois. Les prix d’expédition entraîneront naturellement une augmentation des prix des aliments.
Le 1er novembre, une taxe sur la vaisselle jetable entrera aussi en vigueur, dont le prix va doubler. L’écologie c’est bien, mais pas pour la poche du consommateur. Beaucoup d’israéliens ont fait le plein de vaisselle jetable avec les anciens prix pour ne pas payer les nouveaux le plus longtemps possible.
En Europe, les plats en plastique jetables n’y sont pas taxés, mais simplement interdits. Mais en Israël, la taxe sur la vaisselle jetable est présentée comme un coup terrible pour les « plus faibles » – selon Arutz Sheva, comme les familles ultra-orthodoxes qui consomment ce produit en quantités énormes.
La taxe sur les bouteilles de boissons sucrées augmente également, leur prix augmentera d’environ un shekel et demi. Les bouteilles vides peuvent être retournées dans des machines spéciales et le dépôt de garantie sera rendu.
Depuis le 1er janvier, la taxe foncière (arnona) est devenue plus chère de 2 %, mais l’eau devient moins chère, mais quelques shekels ne nous sauveront pas de cette flambée des prix.