Une délégation de la FIFA s’est rendue à Gaza et a rencontre le premier ministre palestinien Ismail Haniyeh. La FIFA a déclaré : « Nous attendions avec impatience cette visite afin de vous fournir le soutien nécessaire pour le développement des infrastructures sportives et les terrains de sports de la bande de Gaza …nous soutenons l’Union International sous la présidence de M. Joseph Blatter, à fournir les ressources nécessaires pour la reconstruction et le renforcement du sport. »
Haniye a réitéré l’appel de Blatter de revenir dans la bande de Gaza et regarder la situation difficile et les possibilités du mouvement sportif palestinien. Il n’a pas hésité a accusé Israël de blocus dans la bande de Gaza, soulignant que ces mesures viennent dans le cadre de la politique de racisme perpétré par Israël contre le sport et les athlètes.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Le Ministre terroriste a loué l’insistance de la délégation concernant l’accès à Gaza malgré les obstructions israéliennes et l’importance d’insister sur le message de sports au monde de la FIFA, en ajoutant que le mouvement sportif ne doit pas être affecté par la scission politique palestinienne et le sport, au-delà des différences et doit formé une zone d’accord nationale.
Haniyeh a appelé la délégation de la FIFA à faire pression sur Israël pour lever les restrictions sur le football et le sport palestinien et arrêter de viser les infrastructures sportives et terrains de jeux.
David Borja, responsable du développement pour la Fifa en Asie a visité la bande de Gaza et a dit, « nous avons vu l’ampleur de la destruction à Gaza, nous espérons avoir une réelle opportunité de terrains pour les enfants, même si les circonstances sont difficiles pour les citoyen palestiniens. »
Ce qu’a omis de préciser le Ministre du Hamas, est que son organisation terroriste ne laisse pas aux enfants palestinien, cette possibilité de changer d’ambiance en pratiquant du sport, car ces mêmes bâtiments et terrains construits par la FIFA deviennent soit des camps d’entraînement pour les terroristes, soit des caches d’armes ou des endroits d’où sont tirées les roquettes, et Tsahal n’a pas d’autre choix que protéger ses habitants.
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