Vingt-cinq ans après l’assassinat du Premier ministre Yitzhak Rabin, 12 nouveaux témoignages dont le tueur lui-même, ont été publiés dans les médias par des policiers qui n’ont pas tenté d’arrêter le meurtre . Amir a témoigné que si un policier s’était approché de lui, la fusillade n’aurait pas eu lieu.
La documentation montre deux policiers debout près de l’escalier d’où est descendu Rabin, avec Yigal Amir debout à côté d’eux pendant de longues minutes, les policiers remarquent mais ne font rien.
Au comité Shamgar, la police a déclaré qu’elle pensait que c’était un policier en civil.
De l’autre côté, il y avait le témoignage d’Amir qui ajoute «Je suis venu devant la scène et j’ai vu la distance entre les gens et la scène (où se trouvait Rabin), avec toute la sécurité qu’il y avait. Et puis je suis retourné dans le parking, j’ai vu
(la député travailliste) Ora Namir, ils ont commencé à évacuer les gens. »
«Alors j’ai dit que si un policier me disait à moi aussi de partir, je l’aurait fait et j’aurais compris que ce n’etait pas mon heure. Comprenez-vous ce que je veux dire ? Le doute aurait disparu et je n’aurais pas réalisé ce complot. »
