Samedi en fin de journée, la police a indiqué qu’à cette heure-là, les restes de 765 civils tués par des terroristes dans les zones frontalières du Sud le premier jour de la guerre, le 7 octobre, avaient été identifiés. 26% des corps récupérés par les volontaires de ZAKA dans les zones frontalières et transportés à la morgue de la base militaire de Mahane Shura ne sont toujours pas identifiés.

Deux semaines après le massacre commis par les terroristes du Hamas, 668 des personnes tuées ont été enterrées, soit environ les deux tiers. Au cours des 9 jours écoulés depuis le 12 octobre, 404 tués ont été identifiés et enterrés.

Le processus d’identification des corps avance lentement. Les personnes assassinées, dont les corps n’ont pas encore été identifiés, restent portées disparues et plus de 250 familles n’ont toujours pas reçu notification du décès de leurs proches.