Ce mois de mars 1997 est gravé chez tous les Israéliens, après le massacre de 7 jeunes écolières israéliennes par un soldat de l’armée jordanienne.
Ahmed Daqamseh a ouvert le feu sur le groupe d’étudiantes lors d’une sortie de classe sur le site appelé « Île de la paix », dans la ville de Naharayim le 13 mars 1997.
Pour rappel, en 1927, Pinchas Rutenberg, fondateur de la Palestine Electric Company, avait signé un accord avec le roi Abdallah I de Jordanie pour construire une centrale hydroélectrique, créant une île artificielle et l’usine a commencé à fournir de l’électricité en 1932.
En 1994, Israël a cédé la région à la Jordanie dans le cadre du traité de paix entre Israël et la Jordanie sans pour autant que cet accès soit interdit aux touristes israéliens ; mais en 1997, le terroriste Daqamseh en a jugé autrement et a ouvert le feu sur les jeunes filles alors qu’elles se trouvaient du côté jordanien, tuant sept étudiantes et en blessant six autres.
Selon un fonctionnaire jordanien qui s’est exprimé sur l’Associated Press ce mardi, le terroriste sera libéré lundi prochain après avoir purgé une peine de 20 ans de prison.
Un tribunal militaire jordanien avait jugé que le terroriste était mentalement instable et l’avait condamné à la prison à vie.
En 2013, 110 des 150 députés jordaniens avaient signé une pétition demandant sa libération.
En 2011, alors ministre de la Justice, Hussein Mjali avait provoqué un tollé quand il avait appelé à la libération de Daqamseh, affirmant qu’il était un « héros ».
Dés sa sortie, BOUM, BOUM, bon voyage vers les VERGES !
Qu’on envoie le mossad pour finir le travail.