Cette semaine commence un marathon de trois mois, au cours de laquelle, avec l’aide du Fonds d’amitié, dirigé par le rabbin Yechiel Eckstein, 2.300 personnes de 15 pays différents font leur Alya en Israël.
Déjà cette semaine, 382 nouveaux immigrants de 6 pays ont posé leurs pieds sur la terre d’Israël. Cette année le marathon de l’Aliyah, couvrira 2.300 personnes en quelques mois.
Depuis le début de l’année 2017 et jusqu’à la fin Septembre, le Fonds prévoit 3.900 nouveaux immigrants, et plus de 5000 avant la fin de l’année. Nous parlons d’immigrants de 15 pays dans lesquels le Fonds exerce ses activités : l’Ukraine, la France, la Belgique, le Brésil, la Biélorussie, la Russie, la Moldavie, l’Azerbaïdjan, la Géorgie, le Vénézuela, l’Espagne, l’Uruguay, la Lettonie – et ceci est une liste non exhaustive des pays, car certains noms d’autres pays ne peuvent être divulgués pour des raisons de sécurité.
La Fondation de l’Amitié participe activement au rapatriement depuis le début des années nonante. Depuis vingt ans, la Fondation a fait don de 186 millions de dollars pour aider au rapatriement de l’Agence Juive « pour Israël ». En Novembre 2014, le Fonds a créé un ministère de l’Immigration indépendante, qui se développe vers de nouveaux pays chaque année, et la proportion d’immigrants ne fait qu’augmenter.
Au milieu de 2017 en raison du Fonds, il y a eu 47% de rapatriés de tous les immigrants, par rapport à 41% en 2016. Dans certains pays, le Fonds – est l’intermédiaire principal entre eux et Israël, comme par exemple, l’Ukraine avec 74% d’Aliyah et l’Uruguay, avec un taux de 92%. Dans certains cas, le Fonds est le premier aidant des Juifs qui se déplacent en Israël. Ainsi, 100% des rapatriés du Vénézuela se sont déplacés grâce aux les efforts de la Fondation.
La Fondation met l’accent sur l’aide aux Juifs dans le statut socio-économique qui est inférieur à la moyenne, éprouvant des difficultés dans la mise en œuvre du rapatriement pour des raisons bureaucratiques et économiques, ainsi que ceux qui souffrent du terrorisme et l’antisémitisme dans leur pays d’origine.
Par exemple, les employés de la Fondation du Service de l’immigration ont indiqué que les immigrants en provenance de France arrivent en Israël principalement à cause de l’antisémitisme et le désir de donner à leurs enfants un avenir plus sûr.
D’autre part, les immigrants ukrainiens arrivent en Israël en raison de la situation économique instable dans leur pays d’origine, les difficultés du marché du travail dues aux conflits et aux hostilités dans l’est de l’Ukraine.
Afin de faciliter le rapatriement et l’adaptation en Israël, cette Fondation fournit une assistance économique et sociale à chaque personne tant pour ses besoins individuels que ceux de sa famille.
En plus des billets gratuits, le transport sur le territoire des pays d’origines et en Israël, la Fondation offre une aide financière d’un montant de 800 $ par adulte et 400 $ pour chaque enfant de moins de 16 ans. De plus, la Fondation soutient les futurs immigrants à l’Aliyah dans tous les processus qui s’y rattachent. Ainsi Israël founit une aide au cours des six premiers mois dans une variété de domaines: l’emploi, l’enregistrement des enfants dans les écoles, la recherche de logement et bien plus encore.
Le président de la Bourse de la Fondation, le rabbin Yehiel Ekshteyn :
« Le rapatriement a été et continue d’être un élément clée dans le renforcement de la société israélienne. Les immigrants qui viennent en Israël, sont surtout les jeunes ayant fait des études et ont une profession sérieuse. Ils servent de moteur de croissance pour l’économie israélienne et assurent une majorité juive dans le pays dans les années à venir. Nous sommes heureux que de plus en plus de Juifs optent pour le rapatriement en Israël avec le Fonds d’amitié, ce qui montre l’efficacité des efforts que nous mettons en oeuvre pour aider les nouveaux immigrants. Je vous souhaite un été agréable et espère vous voir bientôt intégrés avec succès dans la société israélienne, en étant une partie intégrante de ce pays » !