Le régime iranien montre l’un de ses visages les plus horribles : l’abus sexuel des filles sous le régime théocratique en Iran d’après les préceptes de Mahomet

« Un Iranien d’une ONG,une Société pour la protection des droits des enfants, a déclaré que 43.459 filles de moins de 15 se sont mariés en 2009, contre 33.383 trois ans plus tôt. »

En 2010, 716 filles de moins de 10 ne s’était mariées, comparativement à 449 l’année précédente, selon l’organisation.  »

L’ Iran autorise le mariage des filles de moins de treize avec le consentement des parents et l’approbation d’un tribunal iranien.

Statut Général des Iraniennes depuis l’instauration de la République Islamique

Article 1210 : L’âge de la puberté est de quinze ans pour les garçons et de neuf ans pour les filles. Le mariage d’une fille qui se marie pour la première fois est conditionné à la permission du père ou du tuteur ou d’un grand-père, etc.

Article 1041 : Le mariage avant l’âge de la puberté est interdit, toutefois les contrats de mariage décidés par le père ou le tuteur des fillettes avant cet âge sont validés si les intérêts de la personne sous tutelle sont respectés.

En effet, il faut se demander si la  pédophilie peut devenir légale dans un pays musulman. En effet, les musulmans présentent Mahomet comme étant l’archétype du genre humain, model valable pour tous les temps et toutes les surfaces, or, Muslim rapporte deux hadiths sahih (purement authentiques) sur mariage de Aïcha avec le prophète arabe:

A’icha (qu’Allah soit satisfait d’elle) a dit:
« J’avais six ans lorsque le Prophète (pbAsl) m’épousa et neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi. Quand nous nous rendîmes à Médine, j’avais eu de la fièvre un mois durant et mes cheveux avaient poussé jusqu’à mes épaules. Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver alors que j’étais sur une balançoire, entourée de mes camarades. Quand elle m’eut appelé, je me rendis auprès d’elle sans savoir ce qu’elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester à la porte de la maison jusqu’à ce que j’eusse pris mon souffle. Elle me fit ensuite entrer dans une maison où se trouvaient des femmes des ‘Ansâr qui me dirent: « A toi le bien, la bénédiction et la meilleure fortune! ». Ma mère m’ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent la tête; et se mirent à me parer. Or, rien ne m’effraya et quand l’Envoyé d’Allah (pbAsl) vint dans la matinée; elles me remirent à lui ».

le Sahîh de Muslim : 2547

http://hadith.al-islam.com/Bayan/Displa … frn&ID=806