Le compte Facebook de l’AP n’est pas nouveau, et il est très populaire.

Le compte Facebook de l’Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas, compte près de 40 mille amis sur Facebook.

Un membre des amis de Facebook d’Abbas, une palestinienne et journaliste a décidé de le contacter directement :

«Bonjour ou bonsoir, je ne sais pas comment vous appelez parce que vous êtes devenu mon ami sur Facebook, et on ne dit pas à ses amis « Monsieur le Président ». J’ai juste une petite question à vous poser: pourquoi avez-vous ouvert un compte Facebook, souhaitez-vous faire des rencontres ici ? entendre parler de rêves ? connaître notre quotidien? nos talents?  Peut-être que vous avez envie de rire de blagues avec nous? « .

Voici le Lien vers son lien Facebook

L’auteur a ensuite dit à Abou Mazen que la société palestinienne est très diversifiée, et elle a exprimé l’espoir que la jeunesse palestinienne sera mieux intégrée grâce à Facebook :

«Il y a des gens formidables, des gens bons, beaux et des rêves légitimes. » Elle lui a parlé de conversations dans le cadre de Facebook, y compris les amis de Gaza:. « Facebook a ouvert de nouvelles perspectives, comme une envie de construire un nouvel avenir dont la tâche sera de trouver de nouveaux talents dans tous les domaines. Comme le temps passe, vous constaterez que nous avons appris beaucoup de choses ici.  »

La jeune journaliste pensait que son message n’allait pas être lu, mais qu’elle fut sa surprise lorsqu’elle se rendit compte que Mahmoud Abbas lui-même avait répondu sur sa page Facebook:

«J’ai lu votre lettre et elle est très belle. Je suis fier d’être votre ami et pas besoin de surnom ou d’une autre. Quant à votre question de savoir pourquoi j’ai ouvert le compte Facebook, je vais vous répondre franchement (…). Je suis convaincu que les jeunes sont l’avenir de notre peuple et notre patrie. Comme dit le proverbe: «L’avenir d’une nation dépend de ses jeunes. Nous sommes intéressés de savoirs les espoirs et les rêves de notre jeunesse, nous devons essayer de combler le fossé entre notre temps et leur temps, cependant, ils doivent apprendre de notre expérience ».