L’ONG britannique soi disant dédiée à la défense des droits de l’homme, a passé plus de temps à boycotter Israël qu’à défendre les syriens, et tant d’africains qui meurent de faim dans le monde préférant se concentrer à attaquer la seule démocratie du moyen Orient : Israël.

Selon le secrétaire général d’Amnesty International, Salil Shetty a demandé une interdiction globale des importations de produits Israéliens en provenance de Judée, de Samarie, de Jérusalem et du Golan :

« La communauté internationale doit interdire l’importation de tous les produits fabriqués dans les colonies Israéliennes illégales et mettre un terme aux bénéfices de plusieurs millions de dollars engrangés par ces sociétés, qui alimentent les violations massives des droits de l’homme contre les Palestiniens. Il est temps que les États prennent des mesures concrètes pour arrêter le financement des colonies qui violent de manière flagrante le droit international et instituent des crimes de guerre ».

Suite à cette déclaration, Israël a déclaré que l’ONG a violé la législation anti-BDS, adoptée par la Knesset en 2011.

Les conséquences seront donc les suivantes :

– Amnesty International devient hors la loi
– Révocation des avantages fiscaux de l’ONG
– Fin aux exonérations fiscales de l’ONG
– Éventuels procès intentés par des entreprises touchées par des boycotts à l’étranger.
– Une audience dans les prochains jours avec le personnel de cette ONG.
– Interdiction d’entrée aux activistes étrangers qui dénigrent le pays et appellent au  boycott