Au cours des deux derniĂšres annĂ©es, « le systĂšme anti-familial » comme il est appelĂ© sur Arutz 7 (ŚŚŚ§ŚŚ§Ś ŚŚŚ ŚŚ-ŚŚ©Ś€ŚŚȘŚŚȘ) a contraint Yoni, un pĂšre de famille divorcĂ© Ă rencontrer son fils une fois par semaine, sous surveillance.
Pendant plus de deux ans, le systĂšme anti-familial a forcĂ© Yoni S, un habitant du Krayot, Ă rencontrer son fils au centre dâaide sociale. Lundi, le pĂšre et le fils ont cĂ©lĂ©brĂ© son troisiĂšme anniversaire dans des circonstances difficiles.
Yoni a téléchargé des photos sur le groupe Facebook de pÚres divorcés « A ».
« Aujourdâhui, au centre du mensonge, jâai fĂȘtĂ© son troisiĂšme anniversaire aprĂšs que le tribunal ait dĂ©cidĂ© de donner une aide sociale pour dĂ©cider de son anniversaire, il y a neuf jours. Regardez notre rencontre « , Ă©crit-il.
Pour quelles raisons le systÚme social israélien perturbe-t-il ainsi la vie du pÚre et de son fils ?
Selon Yoni, le travailleur social traitant de son divorce a dĂ©terminĂ© que le divorce Ă©tait «trĂšs conflictuel». Câest la seule excuse, et il nây a aucun soupçon que Yoni a blessĂ© ou fait du mal Ă son enfant de quelque façon que ce soit.
Les photographies disent tout.
Un rapport dâIsraĂ«l Today a rĂ©vĂ©lĂ© que plus de 4 000 enfants en IsraĂ«l sont forcĂ©s de rencontrer lâun de leurs parents dans un des 67 centres sociaux Ă travers le pays. Câest presque toujours des papasâŠ
Le systĂšme des centres de contacts met en Ćuvre une approche radicalement anti-familiale qui brise la structure familiale de la sociĂ©tĂ© et divise la sociĂ©tĂ© en trois «tribus»: les hommes, les femmes et les enfants. Selon ce point de vue, les hommes sont intrinsĂšquement nĂ©gatifs, contrairement aux femmes.
Mais qui est véritablement derriÚre ce systÚme anti-familial ?
La dĂ©putĂ© Shuli Mualem a favorisĂ© (Habait Hayehoudi) cette loi qui permet Ă lâEtat de retirer les enfants de leur domicile en nommant un avocat sĂ©parĂ© pour les enfants, tout en neutralisant le rĂŽle des parents et en plaçant des tuteurs pour ces enfants. Ces derniĂšres annĂ©es, elle a promu une autre loi, appelĂ©e «Parents et enfants», qui efface complĂštement la dĂ©finition des parents en tant que gardiens.
Cependant, cette député qui est religieuse ne met pas ces lois à son crédit, car la figure dominante derriÚre ces lois est en vérité la juge à la retraite Saviona Rotlevy.
Rotlevy sâidentifie comme dĂ©fenseur des « droits des enfants » tout en affaiblissant le statut des parents et renforce lâautonomisation de lâEtat et ses reprĂ©sentants comme par exemple, les tribunaux et la protection sociale en place, Ă la mĂ©thode NĂ©o-marxiste, et dâextrĂȘme gauche.
En plus de ces activitĂ©s, Rotlevy est la chef de file « Les femmes font la paix » et sa porte parole. Elle avait Ă©tĂ© sous les feux dâun scandale le jour de la terrible attaque Ă la synagogue de Har Nof ou des pĂšres de familles ont Ă©tĂ© tuĂ©s pendant la priĂšre par deux terroristes armĂ©s de haches et de couteaux.
Elle avait dit aprĂšs lâattaque : « LâĂ©vĂ©nement dâaujourdâhui montre comment nous devrions et la nĂ©cessitĂ© de trouver une communication partagĂ©e avec les Palestiniens⊠quand le dĂ©sespoir est lĂ (pour les palestiniens), il nâest pas Ă©tonnant quâils fassent des actes de terrorisme ». Vous pouvez apprendre de cet interview et rĂ©action beaucoup de chosesâŠ
Rotlevy est souvent invitĂ©e par le ComitĂ© de la Knesset et propose des lois en trompant le public et les membres de la Knesset eux-mĂȘmes.
RĂ©daction francophone Infos Israel News pour lâactualitĂ© israĂ©lienne
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