La désinformation des médias anti-israélien, qu’elle provient d’Israël ou de l’étranger a atteint un niveau jamais inégalé et proche des protocoles des sages de Sion qui ont précédé la mort de six millions de juifs lors de la seconde guerre mondiale.
C’est sur le site saphirnews.com, que l’on peut découvrir à quel point la rédaction de ce site est en flagrant délit de mensonges. En effet, après avoir passé le même discours des pauvres palestiniens, victimes de l’agression israélienne (pour rappel, Mahmous Abbas a récemment demandé que tous les palestinines de Syrie viennent s’installer en terre d’Israël, pour éviter une mort certaine par leur frère de sang : Assad).
Saphir News annonce que ce sont les populations juives africaines, les Falachas d’Etyopie qui ont émigré en masse en 1975, et qui font l’objet d’un scandale à propos de femmes stérilisées à leur insu par le gouvernement afin de limiter les naissances.
Une information rapportée par le quotidien israélien Haaretz, connu pour son opinion très anti-israélienne et pro-palestinienne, et dont son rédacteur a reçu dernièrement le prix du journaliste le plus malhonnête de l’année, vu le nombre d’informations erronées qui ont causé d’importants dégâts au sein de l’opinion israélienne.
Haarets aurait rapporté qu’une quarantaine de femmes éthiopiennes ont été soumises de force au Depo-Provera, un contraceptif par piqûre.
« Cette injection n’est pas un moyen contraceptif couramment prescrit. Il est considéré comme un recours de dernière intention et il est habituellement réservé aux femmes placées en institution ou souffrant de handicap », explique le quotidien, soulignant que le Depo-Provera a « une histoire infâme » car il était, par le passé, injecté à des milliers de femmes pauvres, souvent noires, entre 1967 et 1978 aux Etats-Unis, afin de réduire le taux de natalité des populations pauvres, victimes par-dessus tout de la ségrégation.
En attendant les autorités démentent cette affaire, mais le journal Haaretz n’en est pas à sa première, ni à sa dernière désinformation envers Israël.
La reprise par des médias musulmans qui vont camoufler par exemple que le quotidien égyptien Al-Masry Al-Youm, avait annoncé lors d’une émission en direct, le vendredi le 30 Novembre sur Hannibal TV, que le Cheikh Ahmad Al-Suhayli de Radès, dans la banlieue de Tunis, a dit à ses disciples de la mosquée Khatib que «Dieu veut détruire cette aspersion des Juifs … et est en faveur de la stérilisation des Juives. »
Pour l’avocat, Qais El-Beltagi, représentant de l’Association Tunisienne en faveur du Soutien aux Minorités affirme que le cheikh Al-Suhayli viole le décret 115 de la loi adopté en 2011, décret qui criminalise les « appels à la haine entre les races, les religions et les populations, » et mérite une peine d’emprisonnement comprise entre 1 et 3 ans en plus d’une amende jusqu’à 1000€.
