Bolton était sans équivoque dans sa déclaration :

«La Palestine» n’est pas un État… Ce n’est pas un État maintenant. Elle ne répond pas au critère du droit international coutumier de l’état. Elle ne contrôle pas les limites définies. Cela ne remplit pas les fonctions normales du gouvernement. Il y a une foule de raisons pour lesquelles ce n’est pas un État. »

L’article 1 de la Convention de Montevideo de 1934 étaye parfaitement la demande de Bolton.

Bolton poursuivit :

«Cela pourrait devenir un État, comme l’a dit le président, mais cela nécessite des négociations diplomatiques avec Israël et d’autres… Nous avons toujours, à travers les administrations démocrates et républicaines, une opposition à l’admission de la ‘Palestine « à l’ONU en tant qu’Etat, car ce n’est pas un Etat ».

L’offre tentante de Bolton a peut-être été faite afin d’essayer d’amener l’OLP à négocier avec Israël sur le plan de paix de Trump qui sera bientôt publié. Il semble certain que ces messages soient tombés dans l’oreille d’un sourd, car l’OLP ne veut rien avoir à faire avec le plan de Trump.

L’OLP ne fera que s’exaspérer davantage lors du dernier effort de Trump visant à donner une réalité au conflit arabo-juif – comme ce fut le cas lorsque Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël.

La décision de l’UNESCO d’admettre «la Palestine» en 2011 en violation flagrante de la Constitution de l’UNESCO revient à frapper l’UNESCO de vengeance – l’Amérique et Israël ayant quitté l’ UNESCO le 31 décembre 2018.

Décisions anti-Israël de l’UNESCO prises depuis «Palestine» a été admis à l’UNESCO incluent :

  • Janvier 2014 – annulation d’une exposition à son siège parisien sur la présence juive en Terre d’Israël
  • Octobre 2016 – ne tenant pas compte des liens entre les Juifs et le Mont du Temple – ne s’y référant que par ses noms musulmans – puis plusieurs semaines plus tard – en passant une version plus souple de la résolution faisant référence au Mur occidental sous son nom juif  tout en ignorant les liens du judaïsme avec les sites.
  • Juillet 2017 – désignant Hébron et les deux sanctuaires adjacents – le tombeau juif des patriarches et la mosquée musulmane Ibrahimi – en tant que «site du patrimoine mondial palestinien en péril».
  • Le 29 novembre 2012, l’Assemblée générale des Nations Unies a accordé à la Palestine le statut «d’État observateur non membre».

Fiction pure.