Il y a tellement de fausses idĂ©es au sujet de la vraie vie en IsraĂ«l. Lâinfluence des mĂ©dias, les cris Ă©motionnels des gauchers libĂ©raux, lâacceptation des dĂ©clarations qui ne sont pas fondĂ©es sur des faits, la dĂ©ligitimisation dâIsraĂ«l âŠ.
Il nâest donc pas surprenant que ceux qui sont exposĂ©s Ă tant de mensonges et qui dĂ©cident de venir un jour en IsraĂ«l pourront voir par eux-mĂȘmes la rĂ©alitĂ© de la vie, et seront Ă©tonnĂ©s de trouver une image bien diffĂ©rente.
Lâhistoire qui suit est celle dâune jeune femme dâArizona qui est venue non seulement pour IsraĂ«l, mais effectivement pour rejoindre lâIDF (Forces de dĂ©fense israĂ©liennes). Son expĂ©rience Ă©crite ci-dessous rend la lecture intĂ©ressante et passionnante
Ce que jâai vu pendant lâopĂ©ration pilier de la dĂ©fense â Par Nira Lee
Â
Il y a quatre ans, en regardant la couverture de lâOpĂ©ration Plomb Durci dans le confort de mon dortoir, jâĂ©tais une Ă©tudiante en conflit. Aussi favorable que jâĂ©tais pour IsraĂ«l, jâai toujours trouvĂ© pĂ©nible de parler de victimes civiles Ă Gaza.
Ce que jâai vu dans les mĂ©dias : dâune part, je savais que lâarmĂ©e israĂ©lienne a dĂ©ployĂ© des efforts prudents pour Ă©viter les pertes civiles, en dĂ©pit de la stratĂ©gie du Hamas consistant Ă lutter contre sa propre population civile. Pourtant, les mĂ©dias ont fait paraĂźtre les FDI comme activement violents contre les civils .
Ă lâĂ©poque, je comprenais les efforts dâIsraĂ«l Ă protĂ©ger les civils et je nâavais aucune implication personnelle dans le conflit. Pourtant, je nâavais aucune idĂ©e jusquâĂ ce que moi-mĂȘme, je participe Ă lâopĂ©ration de la semaine derniĂšre « Pilier de la dĂ©fense » en tant quâofficier dans lâarmĂ©e israĂ©lienne.
Ă lâĂ©poque, je comprenais les efforts dâIsraĂ«l Ă protĂ©ger les civils et je nâavais aucune implication personnelle dans le conflit. Pourtant, je nâavais aucune idĂ©e jusquâĂ ce que moi-mĂȘme, je participe Ă lâopĂ©ration de la semaine derniĂšre « Pilier de la dĂ©fense » en tant quâofficier dans lâarmĂ©e israĂ©lienne.
Quand jâai dĂ©mĂ©nagĂ© en IsraĂ«l , jâai rejoint une unitĂ© appelĂ©e le Coordonnateur des activitĂ©s gouvernementales dans les territoires (COGAT), qui se consacre Ă des questions civiles et humanitaires.
Comme agent de liaison internationale dans le bureau de Gaza, mon travail consiste principalement le transferts de coordination de biens, de lâaide et des dĂ©lĂ©gations dans la bande de Gaza.
Je travaille en Ă©troite collaboration avec les reprĂ©sentants de la communautĂ© internationale, et mĂȘme si nos points de vue sont diffĂšrents, nous entretenons des relations de respect mutuel nĂ© dâun objectif commun, je suis lĂ pour vous aider Ă rĂ©ussir dans leur travail en amĂ©liorant la qualitĂ© de vie dans la bande de Gaza.
Bien que le travail au jour le jour est un dĂ©fi dans la bande de Gaza, jâai appris au cours des dix derniers jours, que le vrai test est livrĂ© avec la crise.Nous avons travaillĂ© plus dur que jamais pour apporter une aide dans la mesure du possible.
Les huit jours de lâopĂ©ration «Pilier de la dĂ©fense» ont Ă©tĂ© parmi les plus difficiles que jâai jamais connu physiquement et Ă©motionnellement. LâĂ©tudiante de lâArizona nâaurait jamais cru quâil Ă©tait possible de travailler 20 heures par jour, fonctionnant uniquement par lâadrĂ©naline et la nostalgie avec une heure de sommeil sur un sol , dans un abri â porter le mĂȘme uniforme sale parce quâil nâĂ©tait pas possible de se changer, se doucher et quâil fallait se rendre Ă un abri dans un temps limitĂ© avant le prochain tir de roquettes.
Bien que le travail au jour le jour est un dĂ©fi dans la bande de Gaza, jâai appris au cours des dix derniers jours, que le vrai test est livrĂ© avec la crise.Nous avons travaillĂ© plus dur que jamais pour apporter une aide dans la mesure du possible.
Les huit jours de lâopĂ©ration «Pilier de la dĂ©fense» ont Ă©tĂ© parmi les plus difficiles que jâai jamais connu physiquement et Ă©motionnellement. LâĂ©tudiante de lâArizona nâaurait jamais cru quâil Ă©tait possible de travailler 20 heures par jour, fonctionnant uniquement par lâadrĂ©naline et la nostalgie avec une heure de sommeil sur un sol , dans un abri â porter le mĂȘme uniforme sale parce quâil nâĂ©tait pas possible de se changer, se doucher et quâil fallait se rendre Ă un abri dans un temps limitĂ© avant le prochain tir de roquettes.
Et non, le port de lâuniforme vert ne signifie pas que vous nâavez pas peur quand les sirĂšnes sonnent. Si vous mâaviez dit, il ya quatre ans quâil y avait des officiers de Tsahal qui sont restĂ©s debout toute la nuit sous une pluie de roquettes, afin dâapporter des fournitures mĂ©dicales et des vivres Ă la population de Gaza, je ne suis pas sĂ»r que je lâaurai cru. Mais je peux vous dire que câest vrai parce que je lâai fait tous les soirs.
Nous Ă©tions tous concentrĂ©s entiĂšrement sur âânotre mission: aider nos forces Ă atteindre leurs objectifs sans causer de dommages inutiles pour les personnes civiles et les infrastructures.
Il est plus difficile dâexpliquer lâaffectif en dents de scie â la fiertĂ© et je me suis senti soulagĂ©e chaque fois quâun camion entrĂ© Ă Gaza, entraĂźnant la colĂšre et comment câĂ©tait compliquĂ© quand nous avons dĂ» fermer le passage dans la bande de Gaza aprĂšs que le Hamas ait tirĂ© Ă plusieurs reprises sur les civils israĂ©liens. Ou comment câĂ©tait vivifiant aider Ă Ă©vacuer deux Palestiniens blessĂ©s de la zone frontaliĂšre, seulement Ă quelques minutes ou plus tard un terroriste a fait exploser une bombe dans un bus prĂšs de mon appartement Ă Tel-Aviv.
Alors, aprĂšs tout ce que jâai vu et fait, rien ne me frustre plus que le jeu de chiffres qui se joue dans les mĂ©dias. Les nĂ©gociations internationales sur « disproportionnĂ©es » et le nombre de victimes qui aveugle lâincapacitĂ© de faire autrement pour les IsraĂ©liens qui eux aussi ont Ă©tĂ© tuĂ©s par le Hamas. Comment reprocher Ă un pays le droit de protĂ©ger ses propres citoyens sans fin de tirs de roquettes.
Nous Ă©tions tous concentrĂ©s entiĂšrement sur âânotre mission: aider nos forces Ă atteindre leurs objectifs sans causer de dommages inutiles pour les personnes civiles et les infrastructures.
Il est plus difficile dâexpliquer lâaffectif en dents de scie â la fiertĂ© et je me suis senti soulagĂ©e chaque fois quâun camion entrĂ© Ă Gaza, entraĂźnant la colĂšre et comment câĂ©tait compliquĂ© quand nous avons dĂ» fermer le passage dans la bande de Gaza aprĂšs que le Hamas ait tirĂ© Ă plusieurs reprises sur les civils israĂ©liens. Ou comment câĂ©tait vivifiant aider Ă Ă©vacuer deux Palestiniens blessĂ©s de la zone frontaliĂšre, seulement Ă quelques minutes ou plus tard un terroriste a fait exploser une bombe dans un bus prĂšs de mon appartement Ă Tel-Aviv.
Alors, aprĂšs tout ce que jâai vu et fait, rien ne me frustre plus que le jeu de chiffres qui se joue dans les mĂ©dias. Les nĂ©gociations internationales sur « disproportionnĂ©es » et le nombre de victimes qui aveugle lâincapacitĂ© de faire autrement pour les IsraĂ©liens qui eux aussi ont Ă©tĂ© tuĂ©s par le Hamas. Comment reprocher Ă un pays le droit de protĂ©ger ses propres citoyens sans fin de tirs de roquettes.
Dans ma position, je vois les frappes aĂ©riennes chirurgicales, et passe de nombreuses heures avec lâONU, le CICR ââet les responsables dâONG lors des examens des cartes pour aider Ă identifier et Ă Ă©viter, en frappant des sites civils. Un de nos pilotes a vu une roquette destinĂ©e Ă IsraĂ«l envoyĂ© Ă proximitĂ© dâenfants . Comment peut on mettre en danger ses propres civils pour sauver les habitants de Gaza ?
Israël doit protéger nos enfants avec des abris et des systÚmes complexes de défense antimissile, alors que les groupes terroristes dans la bande de Gaza se cachent derriÚre leurs propres enfants, en les utilisant comme boucliers humains dans le but de gagner un cynique guerre médiatique.
Chaque jour, je coordonne des Ă©changes de biens avec une femme de Gaza qui travaille pour une organisation dâaide internationale. Le mois dernier, nous avons Ă©tabli un lien quand nous avons dĂ» courir pour nous refugier ensemble lorsque le Hamas a ciblĂ© Kerem Shalom -et attaquer lâaide trĂšs fournie Ă son propre peuple.
Pendant les huit jours de lâopĂ©ration «Pilier de la dĂ©fense », pas un jour sans un appel tĂ©lĂ©phonique, juste pour vĂ©rifier : « Etes-vous dâaccord? » âŠ. « Jâai entendu dire quâils ont tirĂ© sur votre base. Veuillez rester en sĂ©curité », rĂ©pondait-elle. Et tous les soirs, je lui fit promettre de mâappeler si elle avait besoin de quoi que ce soit. Ce sont les choses que les mĂ©dias ne parvient pas Ă montrer au monde entier, tout comme ils minimisent les actions du Hamas qui met en danger dĂ©libĂ©rĂ©ment des civils des deux cĂŽtĂ©s de la frontiĂšre â en tirant au hasard sur IsraĂ«l Ă partir des quartiers habitĂ©s de Gaza .
Peut-ĂȘtre que des histoires comme celles-ci feront des titres moins excitant, mais si ils sont lus avec plus dâattention il y aurait plus de clartĂ© morale, et donc plus de paix au Moyen-Orient.
Israël doit protéger nos enfants avec des abris et des systÚmes complexes de défense antimissile, alors que les groupes terroristes dans la bande de Gaza se cachent derriÚre leurs propres enfants, en les utilisant comme boucliers humains dans le but de gagner un cynique guerre médiatique.
Chaque jour, je coordonne des Ă©changes de biens avec une femme de Gaza qui travaille pour une organisation dâaide internationale. Le mois dernier, nous avons Ă©tabli un lien quand nous avons dĂ» courir pour nous refugier ensemble lorsque le Hamas a ciblĂ© Kerem Shalom -et attaquer lâaide trĂšs fournie Ă son propre peuple.
Pendant les huit jours de lâopĂ©ration «Pilier de la dĂ©fense », pas un jour sans un appel tĂ©lĂ©phonique, juste pour vĂ©rifier : « Etes-vous dâaccord? » âŠ. « Jâai entendu dire quâils ont tirĂ© sur votre base. Veuillez rester en sĂ©curité », rĂ©pondait-elle. Et tous les soirs, je lui fit promettre de mâappeler si elle avait besoin de quoi que ce soit. Ce sont les choses que les mĂ©dias ne parvient pas Ă montrer au monde entier, tout comme ils minimisent les actions du Hamas qui met en danger dĂ©libĂ©rĂ©ment des civils des deux cĂŽtĂ©s de la frontiĂšre â en tirant au hasard sur IsraĂ«l Ă partir des quartiers habitĂ©s de Gaza .
Peut-ĂȘtre que des histoires comme celles-ci feront des titres moins excitant, mais si ils sont lus avec plus dâattention il y aurait plus de clartĂ© morale, et donc plus de paix au Moyen-Orient.
Merci Nira.
Traduit par notre équipe infos-israel.news
RĂ©daction francophone Infos Israel News pour lâactualitĂ© israĂ©lienne
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bravo madame normalement il ne suffirait pas d’aller en israel pour savoir la vĂ©ritĂ© que plusieurs groupes partos ou pays tendent a dissimuler. il est trĂšs clair que les israeliens subissent les attaques terroristes du hamas a partir de gaza apres les accords conclus ils ont gaza et ils contionuent dans leur terrorisme et c’est pour cela qu’il ne fallait pas leur accorder cette terre mais pire encore si vous regarder israel d’est en ouest vous verrez que tel aviv est en rĂ©el danger car le monidre avion ennemi peut survoler le trajet en moins de minutes. bon courage aux soldats femmes et hommes d’israel qui se battent contrte un ennemi qui se cahce derriĂšre les enfants et qui leur fait subir un lavage de cerveau a part que le fait de faire exploser des bombes dans des endroits civils est un acte indigne dĂ©plorant criminel et qui ne correspondra jamis au code d’honneur militaire et contre toutes les rĂ©gles d’engagement. normalement on ayant eu la terre il ne devrait plus y avoir de combats mais cela prouve la mauvaise foi et la barbarie sauvage de ses terroristes qui n’ont jamais mĂ©ritĂ© cette terre.
[…] Il nâest donc pas surprenant que ceux qui sont exposĂ©s Ă tant de mensonges et qui dĂ©cident de venir un jour en IsraĂ«l pourront voir par eux-mĂȘmes la rĂ©alitĂ© de la vie, et seront Ă©tonnĂ©s de trouver une image bien diffĂ©rente. Lire la suite : https://infos-israel.news/2013/01/ce-que-jai-vu-dans-la-bande-de-gaza-par-nira-lee/ […]