Lundi, le service de presse des FDI a annoncé que la police militaire enquêterait sur le « meurtre » d’une infirmière palestinienne, Razan Al-Najar, il y a plusieurs mois.

L’infirmière Razan Al-Najar, âgée de 22 ans, n’a pas été tuée par des tirs de soldats de Tsahal lors d’émeutes qui ont eu lieu près de la clôture dans la région de Khan Yunis en juin 2018.

Une enquête a montré que les soldats ne tiraient pas sur le personnel médical et que l’infirmière, surnommée « l’ange de la miséricorde » dans les médias palestiniens, servait de couverture aux manifestants du Hamas.

Les résultats de l’enquête ont été transmis au procureur militaire, qui a décidé de renvoyer l’affaire à la police militaire pour une seconde enquête.

Le partenaire, de Razan al-Najar, a déclaré qu’elle avait aidé les blessés à la clôture et qu’il était clair qu’elle portait un uniforme médical lorsqu’un tireur isolé israélien a tiré sur la jeune femme.

Les FDI s’en tiennent toujours à la version selon laquelle les raisons pour lesquelles la balle a touché l’infirmière sont inconnues. Toutefois, le procureur a jugé nécessaire d’ouvrir une enquête supplémentaire. Les soldats qui ont tiré sur les manifestants ce jour-là seront interrogés.

 Le député Oren Hazan (Likoud) a réagit à la décision du juge-avocat général qui a décidé de rejeter les conclusions de l’enquête sur la mort de la palestinienne près de la barrière de sécurité à la frontière de Gaza en reprochant Israel de cet excès de zèle qui ne fait qu’affaiblir l’armée de Tsahal et renforcer l’ennemi sur son compte Twitter.

 

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