Le Conseil de sécurité des Nations Unies a refusé de condamner l’organisation terroriste du Hezbollah pour ses violations répétées de la résolution 1701 de l’organe mondial adoptée en 2006 pour mettre fin à la deuxième guerre du Liban entre le groupe et Israël.
De longues heures de débat et de sévères réprimandes de la part de nombreux États membres à la fin signifiaient peu de chose, de même que les informations très détaillées fournies au Conseil de sécurité par les services de renseignements.
Cette information avait également été fournie à la FINUL, la Force intérimaire des Nations Unies au Liban, également connue sous le nom de Force de maintien de la paix des Nations Unies au Liban qui a finalement été transmise directement à l’ennemi israélien, l’armée libanaise, qui l’a ensuite transmise à la force déterminée à anéantir le État juif: le Hezbollah.
Le Hezbollah a ensuite tenté de dissimuler ses activités du côté libanais de la frontière, y compris les tunnels d’attaque transfrontaliers.
L’ambassadeur israélien Danny Danon a déclaré au Conseil de sécurité que la milice soutenue par l’Iran comptait utiliser ces tunnels pour réaliser un plan de conquête des parties de la Galilée septentrionale, attaquant des civils israéliens à cinq endroits différents.
Il a également montré au Conseil de sécurité l’image d’un tunnel qui commençait près du village de Kfar Kila et continuait sous la Ligne bleue en direction du territoire israélien, passant directement sous le nez des troupes de la FINUL. Danon a ajouté que la FINUL est également présente dans des zones interdites dans le sud du Liban, une autre violation de la résolution 1701.
Même la vérification de l’existence de tunnels d’attaque transfrontaliers infiltrant le territoire israélien est une violation directe de la souveraineté israélienne et de la résolution 1701 confirmée par la FINUL, étant insuffisante.
À la fin, le président libanais, Michel Aoun, a été appelé à «prendre toutes les mesures possibles pour parer à la menace d’un tunnel» et à «prévenir une escalade» à la frontière.
Mais la Russie a souligné que « les deux parties » doivent éviter les provocations. Les nations arabes ont condamné Israël, affirmant que l’armée de l’air israélienne avait violé la souveraineté libanaise en intrusion dans l’espace aérien libanais. La Suède a condamné les deux côtés. Et ainsi de suite.
Pendant ce temps, les FDI poursuivent leurs travaux en neutralisant les nombreux tunnels d’attaque transfrontaliers que le Hezbollah a secrètement passés sous «x» au cours des dernières années en territoire israélien.
Les commandants de Tsahal se préparent aussi à ce qui va suivre…