Israël a attaqué dans la nuit de mardi plusieurs sites du Hezbollah et de l’Iran dans la région de Damas.

Ce matin, une source de la sécurité israélienne a confirmé à l’Associated Press que l’armée de l’air avait touché une série d’objectifs liés au transfert d’armes iraniennes aux groupes du Hezbollah. Selon la source, l’attaque israélienne visait trois centres utilisés par l’Iran pour rassembler des armes pour le Hezbollah. Cette source a ajouté qu’Israël avait également détruit une batterie anti-aérienne syrienne qui avait tiré sur un avion israélien.

L’un des sites attaqués était le Centre international de recherche à Jamraya, où se trouve un site de développement et de stockage d’armes biologiques et chimiques.

Vous souvenez-vous du reportage d’hier selon lequel un officier supérieur des gardes de la révolution iranien a été tué lors de l’attaque israélienne ?

Alors… voici la solution au mystère, à moins d’une autre mise à jour :

Une source syrienne de haut rang qui était autrefois un officier supérieur de l’armée syrienne a affirmé que l’attaque israélienne contre un site syro-iranien dans la région de Jamraya, également connue sous le nom d’Institut de recherche sur les armes non conventionnelles, avait été détruit et tué 17 officiers et soldats.

L’une des personnes tuées, selon la source syrienne, est un officier supérieur iranien qui a « allumé » les rumeurs de la nuit dernière au sujet de l’assassinat du major-général Qassem Suleimani, commandant des forces Qods au sein des gardes de la révolution iraniens. L’officier iranien tué était un brigadier général et, avec lui, deux autres officiers iraniens avaient été tués avec le grade de colonel.

Jusqu’à présent, les officiers supérieurs n’ont pas encore été identifiés ainsi que leur rôle. Nous attendrons la publication du décès d’un officier supérieur iranien sur un site du Moyen-Orient.

Lors des funérailles de l’ayatollah, responsable du système judiciaire iranien, le général Qassem Suleimani, qui était absent, a aujourd’hui brillé par son absence sans en connaitre la raison.