La phrase « Le crime contre l’humanité vient D’ISRAEL », a été vue sur le compte Twitter de Bilal Hassani datant de 2014, lors de la guerre Tsouk Etan.

A cette période, le jeune homme avait juste 14 ans et se justifie en disant que son compte était accessible à d’autres personnes, ajoutant que ces propos ne venaient pas de lui.

Il explique qu’il a fait une erreur en ne vérifiant pas le contenu des tweets et  n’a pas effacé cette phrase depuis 2014. Mais selon lui, cela ne le rend pas plus responsable car il est pour la paix et veut venir en Israel, chanter à Tel Aviv, une ville qu’il aime et dont il a tenu à le dire aussi aux israéliens lors d’un interview sur un média israélien en langue anglaise.

Le jeune chanteur a tenu à s’expliquer sur une vidéo :

“Ces propos, c’est pas les miens (sic). Ce ne sont ni mes écrits, ni mes pensées. Quand j’avais 14 ans, mon compte Twitter je n’étais pas le seul à y avoir accès… C’était surtout une opportunité pour tous les hakers et toutes les personnes malintentionnées de propager des fake news… J’ai hâte d’être le 18 mai prochain pour vous interpréter Roi, à Tel Aviv en Israël”, conclut-il.

Mais un autre site comme Sputniknews a publié une vidéo qui l’accuse cette fois ci de s’être moqué des victimes des attentats en France  : Bilal Hassani et un de ses amis s’amusent dans une rue parisienne en gesticulant fort et en prononçant d’un ton ironique à plusieurs reprises la phrase «La France a vraiment souffert, attentats ici, attentats par-là».

Certaines internautes défendent la jeune star en affirmant que Bilal Hassani participait à un challenge dont l’idée consistait à prononcer la même phrase accompagnée des gestes et de l’intonation similaires.

Quoi penser d’un tel challenge vis à vis des familles des victimes ?