Parmi les grands partis politiques dont les chances sont constamment discutées et que des membres éminents sont connus par l’ensemble de la société israélienne, il existe de petits partis qui se sont inscrits et souhaitent faire leur auto-promotion.

Par exemple, le parti des épouses de Daniel Ambash, condamné à 26 ans de prison pour polygamie et violence domestique.

Daniel Ambash

Daniel Ambash – un rapatrié de France, qui déjà en Israël s’est intéressé au hassidisme Breslav puis s’est intéressé à la polygamie avait 6 femmes, qu’il avait mariées avec un rabbin à Mea Shearim, et environ deux douzaines d’enfants. La 7ème petite amie l’a dénoncé à la police.

En 2011, il a été condamné à 26 ans de prison pour abus sexuel et sadisme. Selon l’accusation, ses femmes et ses enfants étaient maintenus en esclavage et soumis périodiquement à des rapports sexuels forcés, à des coups et à des décharges électriques.

Il aurait violé sa propre fille devant des membres de sa famille, affirmant que c’était « son devoir » selon les médias israéliens.

4 de ses épouses vivent toujours ensemble. Leur parti Kama se battra pour la liberté dans la vie privée et pour la non-ingérence de l’État dans les relations familiales.

« L’État s’immisce de plus en plus dans la vie des citoyens. Lorsque nous serons élues, nous introduirons une série de lois et de changements qui définiront les droits de l’individu et l’intervention de l’Etat dans sa vie, a expliqué Aderet.

Aderet, l’une des femmes a conclu en expliquant :  » Nous avons décidé de créer un parti de femmes sans avoir l’intention de priver les hommes de leurs droits. Nous sommes des femmes qui avons choisi la Torah comme mode de vie et croyons aux valeurs du libéralisme et de la liberté de l’individu en vertu de la croyance au « libre choix ».