Un dirigeant de Hong Kong s’est exprimé suite aux manifestations : « Nous sommes arrivés à un point de non-retour » • L’aéroport restera fermé • Des véhicules blindés de l’armée chinoise se rassemblent à la frontière entre les deux pays.

Des convois militaires chinois ont été observés mardi à la frontière d’autonomie de Hong Kong – c’est un message clair de Beijing indiquant que si la protestation contre cette manifestation ne cesse pas, le gouvernement central envahira la région.

La leader de Hong Kong, Carrie Lam, a plaidé pour des rassemblements et a refusé de discuter des conditions des manifestants, affirmant qu’ils avaient « atteint le point de non retour », ajoutant que « le danger n’a jamais été aussi grand ».

Le président des États-Unis, Donald Trump, s’est adressé à la protestation en écrivant sur son compte Twitter : « Nombreux sont ceux qui reprochent aux États-Unis d’avoir des problèmes avec Hong Kong. Je ne vois pas pourquoi. Nos informations nous ont appris que le gouvernement chinois transférait des forces à la frontière avec Hong Kong. »