Lundi, les médias locaux au Liban ont rapporté que le commandant de la Force iranienne Qods, Ismail Ka’ani, s’était récemment rendu au Liban et rencontrerait le secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah.
Selon des informations, le général de brigade Ka’ani, successeur de Qassem Suleimani, assassiné par les Américains plus tôt cette année, avec un milicien irakien de haut rang à l’aéroport de Bagdad, a averti Nasrallah de ne pas « provoquer Israël ».
Kaani a également demandé à l’organisation de rester en état d’alerte à la suite des développements dans la région.
Il a demandé à Nasrallah de ne pas prendre de mesures dangereuses qui donneraient à Israël une raison de lancer une opération à grande échelle.
Entre-temps, on sait que le dirigeant du Hezbollah au Liban, Hassan Nasrallah, prend toutes les précautions nécessaires, craignant qu’il ne soit le prochain candidat digne sur la liste des assassinats israélo-américains.
Mais B. Ka’ani n’est pas l’homme qui dirige Nasrallah, bien au contraire. Depuis la liquidation du général Qassem Suleimani, le Hezbollah a montré une ligne plus équilibrée et indépendante.
Soit dit en passant, il est important de noter que l’appel à la retenue a en fait été lancé par Nasrallah dans son récent discours.