Moins de 11 jours après le début de la catastrophe, le ministère de l’Environnement a reconnu son impuissance et s’est tourné vers des entreprises spécialisées dans l’assainissement des eaux marines pour aider les autorités locales.
Le désastre avec la libération de produits pétroliers sur les plages d’Israël ne se présente pas seulement comme un désastre environnemental, mais aussi comme un désastre pour les autorités. Pendant deux jours, personne n’a réagi à la situation, à l’exception des volontaires, les voix timides des responsables n’ont commencé à se faire entendre que lorsqu’il n’était plus possible de se taire.
Des soldats et des volontaires ont nettoyé les plages avec leurs mains pendant une semaine, tout n’a pas été enlevé, mais pendant trois jours, de nouvelles portions de mazout ont été jetées sur les plages. Les rives de Tel Dor, Netanya, Emek Hefer, Gador, Mikhmoret, Nahsholim et Beit Yanai ont été particulièrement touchées. De nouvelles émissions ont été observées à Acre et Hof HaCarmel.
Le ministère a besoin d’une carte des zones contaminées et des méthodes de nettoyage qui ne nuiront pas aux animaux marins. Certains rochers près de la côte sont recouverts d’une croûte dure. Vous avez besoin de matériel et de personnel qui savent comment l’utiliser.
Dimanche, le pétrolier grec Minerva Helen a été débarrassé des soupçons de déversement d’hydrocarbures. Le 11 février, 250 pétroliers sont passés près de nos côtes, ce qui n’a pas encore été élucidé, d’ailleurs, ni classé.
Pendant ce temps, une autre énorme nappe de pétrole dérive vers le rivage.