Rappelez vous, le 7 avril, la veille du jour du Souvenir de l’Holocauste, l’opération #OpIsrael avait annoncé de « rayer Israël de l’Internet », un peu comme Ahmadinejad pour la terre d’Israël.
Cette attaque fut un échec mémorable de la part d’Anonymus qui comptait pirater de nombreux sites comme les sites web de banques, écoles, ONG et agences gouvernementales israéliennes.
Finalement, aucun des sites n’a été fermé ou défiguré selon Ronen Kenig, le Directeur des solutions de sécurité pour Radware, une société de cyber-sécurité qui a analysé les attaques sur l’Internet israélien.
Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée si vite, la veille de cette attaque planifiée, un groupe de hackers israéliens appelé « Israel Elite Force » décide de manipuler les hackers d’Anonymus avant de mettre hors ligne leur propre site, et des sites anti-israéliens comme des sites Web affiliés au Hezbollah et au gouvernement syrien.
Mais la plus grande vengeance israélienne vis à vis des hackers d’#OpIsrael, et de les conduire à attaquer le site de B’Tselem, une ONG israélienne gauchiste qui adoptent les mêmes idées que cette organisation par des moyens que seules connaissent les ingénieurs en informatique israéliens.
C’est une tactique qui consiste à « arracher le masque des hackers attaquant Israël » selon une vidéo. Chaque site révèle certaines informations personnelles, mais aussi sur les individus d’#OpIsrael :
« Nous savons qui vous êtes, annonce le groupe sur sa page Web. Vous ne pouvez pas vous cacher ! Vous ne pouvez pas vous échapper ! »
« Si l’information est correcte, ce serait un développement sans précédent dans le monde des hackers du Moyen-Orient, a déclaré Tal Pavel, du groupe de sécurité Middle Eastern Net, et chargé de cours au Netanya Academic College. L’une des ressources les plus importantes pour les hackers est leur anonymat, et le leur enlever cela […] pourrait avoir un impact majeur sur la nature du conflit entre Israël ses cyber-ennemis. […] Il ne fait aucun doute qu’une frontière a été franchie. Nous allons maintenant attendre de voir où cela nous mène. »