Il est possible que des dizaines de personnes qui ont été introduites clandestinement d’Éthiopie en Israël dans le cadre d’une opération d’infiltration aient menti sur leurs origines juives et exagéré le niveau de danger dans lequel elles se trouvaient, selon des informations publiées dimanche.
Une enquête de l’Autorité de l’immigration et de la population a soulevé de « sérieux doutes » sur la grande majorité d’un groupe de 61 Éthiopiens amenés en Israël ces derniers mois, qui pourraient avoir fait partie d’un complot d’immigrés d’Éthiopie comme cela a été il y 20 ans, a rapporté Haaretz.
Une discussion de hauts fonctionnaires sur la question de savoir s’il faut augmenter l’immigration de ceux qui attendent dans les camps en Éthiopie a été reportée à aujourd’hui.
Plus tôt: Pnina Temnu, Sheta et Ayelet Shaked se sont rencontrées pour tenter de parvenir à des accords et la séance est définie comme : « Dans la bonne humeur ». De son coté, l’Éthiopie a du mal à comprendre pourquoi des discussions ont lieu sur le sujet et déclare : « La situation est stable *
Selon des fonctionnaires du gouvernement éthiopien, dont l’ambassadrice en Israël, Reta Elmo Nega à News Kan : » Il n’y a actuellement aucune crainte d’attendre les camps, les rebelles sont très loin »
L’Éthiopie critique le Fake News, qui, selon eux, a été crée par les médias internationaux autour de la situation réelle dans le pays. Mais finalement, il y a peu de temps la discussion s’est terminée entre Shaked et Pnina Temano Sheta et des responsables du Conseil de sécurité nationale sur la question de ceux qui attendent en Éthiopie pour immigrer en Israël :
» Il a été décidé qu’ils travailleraient pour accélérer l’immigration de leurs familles au premier degré qui les attendent en Israël et qui y ont droit conformément à une précédente décision du gouvernement de 2015 et qui n’a pas été mise en œuvre jusqu’à présent. »
La ministre de l’Intérieur Ayelet Shaked et la ministre de l’Intégration Pnina Temano-Sheta ont convenu aujourd’hui (mardi) qu’elles travailleraient pour accélérer l’immigration de 5 000 Juifs éthiopiens en attente à Addis-Abeba pour l’immigration en Israël. Ceci, dans l’ombre de la détérioration de la situation sécuritaire dans le pays.