Un acte de vandalisme au cimetière du Mont des Oliviers. Des personnes non identifiées ont endommagé les pierres tombales dans la zone du cimetière où se trouvent des tombes militaires. À en juger par la nature du vandalisme, c’est l’œuvre de voyous arabes. Plus tôt en Hongrie, il y avait eu un scandale avec la profanation du drapeau israélien, qui était peint de dessins obscènes et d’inscriptions offensantes.

Ce matin, la police a reçu un rapport concernant la découverte d’inscriptions nationalistes et des dommages à deux pierres tombales dans la partie militaire du cimetière du Mont des Oliviers à Jérusalem.

Arrivés sur les lieux de l’incident, les policiers ont trouvé une plaque signalétique recouverte d’un marqueur et deux pierres tombales endommagées de tombes de soldats. En particulier, l’inconnu a « transféré » l’inscription « Ministère de la Défense » au « Ministère des Nazis », et a également dessiné le drapeau de l’Organisation de libération de la Palestine. La police a lancé une enquête et un rapport a été envoyé aux FDI pour la restauration et le remplacement des pierres tombales détruites.

Un autre scandale antisémite a eu lieu dimanche en Hongrie, où des membres du groupe de hip-hop espagnol Tribade, interprétant une chanson dédiée à la Palestine, ont profané le drapeau israélien lors du festival international de musique Sziget. Les participants ont dessiné dessus avec un marqueur l’organe génital masculin avec la légende « Eat it », et ont également placé les inscriptions: « Israël n’existe pas », « Free Palestine ». La vidéo a été téléchargée sur Internet et a reçu de nombreux commentaires en colère.

Après un appel du ministère israélien des Affaires étrangères, les organisateurs du festival se sont excusés et ont promis que le scandaleux groupe espagnol ne serait plus invité au festival.