JĂ©rusalem a Ă©tĂ© et devient de plus en plus la ville la plus pauvre. Sur une Ă©chelle socio-Ă©conomique de 10 points, JĂ©rusalem est passĂ© de 2017-2019 du 3ème au 2ème Ă©chelon du statut socio-Ă©conomique des habitants. Ce sont les donnĂ©es publiĂ©es aujourd’hui par le Bureau central des statistiques d’IsraĂ«l .Â
La rĂ©gression de JĂ©rusalem Ă plus long terme est particulièrement frappante. Dans les annĂ©es oĂą la grande alyah des annĂ©es 90 est arrivĂ©e en IsraĂ«l, c’était une ville largement diffĂ©rente : en 1995, JĂ©rusalem Ă©tait au 5ème Ă©chelon de condition socio-Ă©conomique.  JĂ©rusalem est au niveau de Bnei Brak et Beit Shemesh .Â
Les villes avec le plus haut niveau de bien-être économique des résidents appartiennent au dixième niveau, et les plus pauvres – au premier. Ainsi, pendant 25 ans, le capital a roulé du milieu vers le bas.
Le gros des grandes villes est resté en 2019 au même niveau qu’il y a deux ans : Tel-Aviv au 8e, et Rishon LeZion, Haïfa et Petah Tikva au 7e.
Ashdod est la seule grande ville Ă ĂŞtre passĂ©e Ă un Ă©chelon supĂ©rieur. En 2019, il est passĂ© du 4e au 5e Ă©chelon de l’échelle socio-Ă©conomique.Â
17 localités sont passées de la 9e à la 8e place. Parmi eux se trouvent Kiryat Tivon, Binyamina et les districts régionaux de Brener et Hof HaCarmel.
Fait intéressant, parmi les 30 villes qui ont progressé d’un pas, il y a des villes arabes – Baqa al-Gharbiya et Sakhnin (4). Sderot et Katzrin sont passés de la 4e à la 5e marche.
Le 10e échelon le plus élevé comprend 5 villes : ce sont les riches villages du Néguev d’Omer et Leamim, Kfar Shmaryahu et Savyon au centre du pays. Cette fois, ils ont été rejoints par le village d’élite de Kokhav Yair (où vivent de nombreux militaires et politiciens de haut rang), qui se trouvait autrefois à la 9e marche.
Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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