Samedi soir, le service de presse du ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir a indiqué que le terroriste Maher Younis, qui venait de sortir de prison après 40 ans de prison, a de nouveau été arrêté « pour suspicion d’incitation à la terreur ».

Younis a été libéré jeudi. Sur ordre du ministre Ben-Gvir, la police préparait cet événement en tant qu’opération spéciale importante – la tâche était d’empecher les incitations dans le village de l’ancien terroriste. Selon un communiqué de presse officiel, Ben-Gvir a félicité la police pour son « excellent travail » consistant à « empêcher l’installation des tentes et à montrer sa sympathie pour la terreur ».

Ben-Gvir souligne spécifiquement que toute « l’opération spéciale » a été menée « sur les ordres directs du ministre de la Sécurité nationale, qui a ordonné que les drapeaux ne soient pas agités, les tentes érigées et toute autre action exprimant un soutien et une sympathie pour le terrorisme ». Le couronnement de l’opération spéciale a été l’arrestation d’un tolard tout juste libéré pour un post sur les réseaux sociaux de « sympathie pour le terrorisme ».