L’avocate qui a accusé Avi Himi du barreau de harcèlement sexuel et a donné sa vidéo intime à la journaliste Ayala Hasson n’a toujours pas contacté la police. Sans attendre un appel à un interrogatoire et l’opportunité de présenter sa version des faits aux enquêteurs a été proposé, Avi Himi s’est lui-même tourné vers la police.

Himi a porté plainte au commissariat de police 433 contre l’avocate qui, comme il entend le prouver, il dit qu’il a entretenu une relation intime avec elle pendant plus de trois ans. Selon le journaliste de Hadashot 12 Guy Peleg, Himi accuse son ancien amante de diffamation et se dit prête à fournir à la police son smartphone pour une perquisition, avec la possibilité de restituer la correspondance effacée avec l’avocate.

Suite à la publication d’Ayala Hasson, Himi a démissionné de son poste de président du barreau. La police a ouvert une enquête sur les faits exposés dans la publication de Hasson, mais pour engager une action pénale et convoquer Himi pour interrogatoire, une plainte de la victime de « harcèlement sexuel » est nécessaire – et la femme, comme déjà mentionné, ne va pas porter plainte.