La chaîne saoudienne Al-Hadath a rapporté ce vendredi que le rôle de Milad Heydari, l’officier iranien mort dans l’attaque, était de former des milices pro-iraniennes en Syrie pour fabriquer des missiles précis.

Le rapport indiquait que Heydari n’était pas visé et que les dernières attaques en Syrie étaient dirigées contre des cargaisons de puces de guidage de missiles.

 

Il a également été rapporté que lors de récentes attaques attribuées à Israël en Syrie, davantage d’officiers iraniens participant à des missions d’entraînement à la précision des missiles ont été tués.

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La chaîne saoudienne « Al-Arabiya » a rapporté que l’attaque israélienne contre Damas ne visait pas des membres des Gardiens de la révolution iraniens, mais des cargaisons d’équipements de guidage de missiles introduits en contrebande en Syrie.

Le Centre syrien pour les droits de l’homme, une organisation d’opposition basée en Grande-Bretagne, a déclaré que lors d’une attaque attribuée à Israël dans la région de Damas, cinq officiers des Gardiens de la révolution iraniens avaient été tués, dont un commandant supérieur.

Le rapport n’a aucune confirmation d’une autre source. Auparavant, les gardiens de la révolution menaçaient une « réponse adéquate » à l’attaque, après la mort du conseiller Heydari.

Toujours à l’aube d’hier, les médias du pays ont fait état d’une attaque dans la région. La presse syrienne a indiqué que les systèmes de défense aérienne agissaient pour repousser « l’agression israélienne ».

 

Selon l’agence de presse officielle syrienne, des explosions ont été entendues dans le ciel de Damas. Une station de radio affiliée au régime Assad a également signalé que des systèmes de défense aérienne avaient été activés contre des cibles hostiles.