Selon un rapport de Walla, l’avis de la division des licences d’armes à feu a été envoyé à l’entreprise conformément à la recommandation de la police, à la suite d’informations de renseignement selon lesquelles le propriétaire de l’entreprise est en contact avec une organisation criminelle.
Les 150 salariés de l’entreprise, dont certains assurent la sécurité des collectivités locales et des lieux de divertissement, ont été informés qu’ils devaient restituer leurs armes d’ici quelques semaines.
Le propriétaire de l’entreprise, Hamlet Astrian, a déposé une requête auprès du tribunal contre la décision du ministère de la Sécurité nationale et a affirmé qu’il s’agissait « d’informations fausses, infondées et biaisées provenant d’une personne ayant un intérêt qui veut noircir mon nom pour ne pas être lésé ».