Au cours du mois dernier, plus de 350 membres de l’organisation terroriste Hamas et plus de 120 du Jihad islamique ont été arrêtés à Gaza et amenés pour interrogatoire en Israël, pour un total de plus de 500 terroristes d’organisations terroristes. 140 membres du Hamas ont été arrêtés après la fin de la « pause humanitaire » et la reprise de l’offensive à Gaza.
Le service de presse de Tsahal affirme que « certains d’entre eux » se sont rendus de leur propre initiative. On ne sait pas combien de détenus appartenaient à la branche militaire du Hamas et participaient activement à la guerre contre Israël.
L’armée israélienne a souligné que certains combattants du Hamas se cachaient dans des bâtiments civils. On explique également que lors des interrogatoires, les détenus fournissent de nombreuses informations précieuses.
מתום ההפוגה, לוחמי צה"ל בשיתוף עם שב"כ עצרו כ-140 פעילי חמאס וגא"פ ברחבי רצועת עזה. הפעילים עוכבו במהלך קרבות בימים האחרונים על ידי לוחמי צה״ל, חלקם נכנעו באופן יזום והובלו עם חוקרי השטח של יחידה 504 באגף המודיעין ורכזי השב״כ להמשך חקירה>> pic.twitter.com/AMgue3dpAb
— צבא ההגנה לישראל (@idfonline) December 11, 2023
La veille, Tsahal s’est distancié de la publication de vidéos et de photos montrant des centaines de « terroristes capturés » déshabillés ; l’armée a expliqué aux journalistes que ces photographies ne montraient pas des terroristes qui s’étaient rendus, mais des hommes en âge de combattre détenus pour « filtration » qui sont restés dans les zones de combat après tous les appels à l’évacuation. Al-Jazeera a qualifié les vidéos de « mise en scène » et les militants des droits de l’homme ont accusé Israël de violer les lois de la guerre.