Demain Ă  Gaza, s’Ă©tendra la plus belle orangeraie du monde !

Orange plantation in California USA
Demain Ă  Gaza, s’étendra la plus belle orangeraie du monde !
 
Voici ci-dessous le psaume 35 de la Bible Ă©crit entre 1000 et 500 avant JĂ©sus-Christ qui n’ets riend ‘autres que la priĂšre de David contre ses ennemis.
Si vous le lisez lentement, vous serez surpris par certains passages qui sont d’une actualitĂ© renversante. Je me suis permis -sans prĂ©tention Ă©videmment !- d’en poursuivre sa rĂ©daction par une vision anticipative.
 
« De David. Eternel ! défends-moi contre mes adversaires, Combats ceux qui me combattent !
Saisis le petit et le grand bouclier, Et lĂšve-toi pour me secourir !
Brandis la lance et le javelot contre mes persécuteurs ! Dis à mon ùme : Je suis ton salut !
Qu’ils soient honteux et confus, ceux qui en veulent Ă  ma vie ! Qu’ils reculent et rougissent, ceux qui mĂ©ditent ma perte !
Qu’ils soient comme la balle emportĂ©e par le vent, Et que l’ange de l’Eternel les chasse !
Que leur route soit tĂ©nĂ©breuse et glissante, Et que l’ange de l’Eternel les poursuive !
Car sans cause ils m’ont tendu leur filet sur une fosse, Sans cause ils l’ont creusĂ©e pour m’îter la vie .
Que la ruine les atteigne Ă  l’improviste, Qu’ils soient pris dans le filet qu’ils ont tendu, Qu’ils y tombent et pĂ©rissent !
Et mon Ăąme aura de la joie en l’Eternel, De l’allĂ©gresse en son salut.
Tous mes os diront : Eternel ! qui peut, comme toi, DĂ©livrer le malheureux d’un plus fort que lui, Le malheureux et le pauvre de celui qui le dĂ©pouille ?
De faux tĂ©moins se lĂšvent ! ils m’interrogent sur ce que j’ignore.
Ils me rendent le mal pour le bien : Mon ñme est dans l’abandon.
Et moi, quand ils Ă©taient malades, je revĂȘtais un sac, J’humiliais mon Ăąme par le jeĂ»ne, Je priais, la tĂȘte penchĂ©e sur mon sein.
Comme pour un ami, pour un frùre, je me traünais lentement; Comme pour le deuil d’une mùre, je me courbais avec tristesse.
Puis, quand je chancelle, ils se rĂ©jouissent et s’assemblent, Ils s’assemblent Ă  mon insu pour m’outrager, Ils me dĂ©chirent sans relĂąche;
Avec les impies, les parasites moqueurs, Ils grincent des dents contre moi.
Seigneur ! Jusques à quand le verras-tu ? ProtÚge mon ùme contre leurs embûches, Ma vie contre les lionceaux !
Je te louerai dans la grande assemblĂ©e, Je te cĂ©lĂ©brerai au milieu d’un peuple nombreux.
Que ceux qui sont Ă  tort mes ennemis ne se rĂ©jouissent pas Ă  mon sujet, Que ceux qui me haĂŻssent sans cause ne m’insultent pas du regard !
Car ils tiennent un langage qui n’est point celui de la paix, Ils mĂ©ditent la tromperie contre les gens tranquilles du pays.
Ils ouvrent contre moi leur bouche, Ils disent : Ah ! ah ! nos yeux regardent !
Eternel, tu le vois ! ne reste pas en silence ! Seigneur, ne t’éloigne pas de moi !
Réveille-toi, réveille-toi pour me faire justice ! Mon Dieu et mon Seigneur, défends ma cause !
Juge-moi selon ta justice, Eternel, mon Dieu ! Et qu’ils ne se rĂ©jouissent pas Ă  mon sujet !
Qu’ils ne disent pas dans leur coeur : Ah ! voilà ce que nous voulions ! Qu’ils ne disent pas : Nous l’avons englouti !
Que tous ensemble ils soient honteux et confus, Ceux qui se rĂ©jouissent de mon malheur ! Qu’ils revĂȘtent l’ignominie et l’opprobre, Ceux qui s’élĂšvent contre moi !
Qu’ils aient de l’allĂ©gresse et de la joie, Ceux qui prennent plaisir Ă  mon innocence, Et que sans cesse ils disent : ExaltĂ© soit l’Eternel, Qui veut la paix de son serviteur !
Et ma langue célébrera ta justice, Elle dira tous les jours ta louange ».
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Ô Eternel, nous nous sommes Ă©loignĂ©s de toi ! Nous avons créé des Veaux d’or. Encore une fois, enfants tapageurs et bruyants, nous avons oubliĂ© tes leçons : le DĂ©luge, Sodome et Gomorrhe !
Nous, ton peuple Ă©lu, nous n’avons pas tenu notre promesse d’ĂȘtre un modĂšle de vertus pour les nations. Nous avons sombrĂ© dans le consumĂ©risme oubliant Ta gloire Ă©ternelle ! Il n’y a pas si longtemps encore, inconscients et imprudents, nous nous sommes divisĂ©s en factions haineuses !
Et voilĂ  donc ce qu’ils viennent de nous faire : notre sang, rouge de notre honte, a coulĂ© sur notre terre chĂ©rie d’IsraĂ«l !
Mais cette fois, nous nous inclinons devant toi. Nous avons compris. Nous sommes dĂ©sormais une Ăąme, une seule, nous sommes Ă  tout jamais redevenus les enfants d’Abraham et de MoĂŻse ! Et cette fois, nous avons une armĂ©e Tsahal et nous savons, au plus profond de nos Ăąmes que Tu es Son porte-Ă©tendard. « Mi Shebeirach   ».
Ô Eternel ! BientĂŽt, demain mĂȘme ! Le Goush Katif et toute la bande de Gaza seront redevenus terre d’IsraĂ«l, une grande plaine fertile, des orangeraies et des palmeraies s’étendront à perte de vue ! Tout le bĂ©ton devenu poussiĂšre, aura disparu !
Partout, il n’y aura que vĂ©gĂ©tation d’un vert Ă©tincelant, qu’arbres fruitiers, que chants d’oiseaux et vols de papillons, que le bleu enchanteur de la mer Ă  l’horizon et que des parfums ennivrants !
Ô Eternel, grĂące Ă  toi, cette Ă©charpe de verdure sera pour toujours le pays oĂč coule le lait et le miel car nous aurons exterminĂ© la vermine de Satan !
Et tu seras Ă  jamais le MaĂźtre sur ce lambeau de terre autrefois dĂ©chirĂ© du corps d’IsraĂ«l !
Vive Israël !
Par Philippe ARNON, un ami d’Israel.

RĂ©daction francophone Infos Israel News pour l’actualitĂ© israĂ©lienne
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