21 soldats de Tsahal ont été tués lors d’une opération visant à détruire un complexe de bâtiments dans la zone d’Al Ma’azi, située à environ 600 mètres de la frontière, près de Kisifov. Une enquête préliminaire indique qu’un missile antichar tiré par des terroristes a touché un char et du matériel explosif de la force qui s’occupait de détruire les bâtiments. L’impact a activé les engins explosifs et la grande explosion a fait s’effondrer les bâtiments sur la force, causant de nombreux morts. Parmi les morts : le sergent-major de réserve Raphael Elias Moshioff, 33 ans, de Pardes Hana-Karkur, combattant du bataillon 6261 de la brigade 261.
Quel est le problème? Il n y a pas besoin de beaucoup parler mais juste de les bombarder. Ayez pitié pour les soldats qui sont tués pour rien. Le travail peut être effectué depuis les airs. »
« Vers deux heures du matin, ma fille m’a appelé. J’habite à Tel Aviv, j’ai couru à Haïfa. Nous avons un problème. Nous voulons l’enterrer avant qu’il ne fasse nuit, à 16 heures. L’armée n’est pas prête, ils veulent de l’enterrer à 18h00. Ce n’est pas bien. Pour nous, nous voulons être tôt, de jour. Ils peuvent mobiliser 300 000 personnes et faire venir 2 000 chars, mais enterrer notre fils à 16h00, n’est-ce pas ? Cela ne nous intéresse pas Maintenant, compte tenu de la façon dont cela s’est produit et de ce qui s’est passé, nous souhaitons l’enterrer tôt, avant qu’il ne fasse nuit. Nous pouvons faire tant de choses, mais ne pas enterrer nos morts à la lumière du jour ? Quel genre de chose est-ce.
« C’était un bon garçon, un vrai patriote. Un excellent garçon. Tout ce qui l’intéressait, c’était la Terre d’Israël et les combats. Hier, il m’a envoyé un gentil message disant qu’ils ne sont pas prêts à rentrer chez eux avant d’avoir éliminé tous les terroristes là-bas. … Son père n’est pas ici, il habite à l’étranger. »