Mais les observatrices du sud ne semble pas le sel cas, car les observatrices dans le nord se sont plaint déjà en octobre du manque de protection et des portes qui ne se fermaient pas correctement et aucune réponse n’a été apportée jusqu’à présent. Lorsqu’elles ont demandé ce qu’elles feraient en cas d’infiltration terroriste, le commandant a répondu aux soldates : « Venez vite chez moi et je vous donnerai les clés des chambres pour que vous puissiez vous y enfermer. »
À la question de savoir pourquoi elles ne sont pas évacués, le commandant de la division a répondu : « Elles doivent être proches des combattants (qui sont positionnés à la frontière nord) , épaule contre épaule ». D’autres observatrices de la division ont déjà été évacués d’autres endroits et travaillent à distance. Il a également été décidé de distribuer des armes aux observatrices, mais sans formation appropriée.
Les parents ajoutent dans la lettre : « Les observatrices de Nahal Oz ont également mis en garde contre les échecs et les dangers, ont prévenu et ont été réduites au silence. Les observatrices là-bas ont été assassinées en pyjama, sans armes, et, même là, on leur a promis qu’elles seraient protégées – mais rien n’a été fait. »
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
