Ce sont des réservistes, des combattants – et ils sont déterminés à protéger leur foyer, le Golan. Après le Sud et la Haute Galilée, une unité d’intervention rapide est également ouverte au sein de la 210e division. Le commandant de « Fara » nous a parlé des avantages que son groupe lui apporte, des objectifs qu’il se fixe et de l’origine de son nom.

Après l’ouverture de Lotar en bordure de Gaza et de l’unité Deborah, la Division 210 introduit également une unité d’intervention rapide, cette fois dans le Golan.

La création de l’unité ne remplace pas une capacité existante de l’armée, mais renforce et maximise la défense à la frontière, tout en coopérant avec les unités en attente.

« Fara » est composé d’habitants du Golan qui ont servi dans des rôles de combat dans le passé et constitue un multiplicateur de force dans le nord : « Le combattant local est disponible, se sent profondément engagé dans la cause et, surtout, sait les nuances du terrain mieux que quiconque. »

Cette unité est d’une tres grande importance face à la menace réelle d’intrusion terroristes depuis le Liban et la Syrie lors d’une guerre muti-scenes qui pourrait canaliser l’armée, ce qui peut rendre perméable la frontière. C’est ce que nous avons remarqué deja le 7 octobre à la frontière en bordure de Gaza qui sous des milliers de roquettes, a permis aux terroristes du Hamas d’entrer en Israel et de commettre le plus grand massacre de juifs depuis la Shoah.