« Connaissant le territoire et comment il est conquis, à mon avis l’axe de Philadelphie était la première chose à faire pour arrêter les munitions. Peut-être que quelqu’un pensait que si vous attaquiez Gaza, les gens fuiraient vers l’Egypte et la bande de Gaza sera vidée de ses habitants. »

Kahalani a précisé que « nous devons tout faire pour rendre les otages. Je me suis battu pour qu’il n’en manque aucun. Nous devons trouver une issue. Je vais vous donner un scénario : si nous quittons Philadelphie d’ici un an, il y aura 4000 drones dans la bande de Gaza. Dans six mois, ils tireront sur le Néguev et les habitants du Néguev courront vers Tel-Aviv. Nous parlons ici de notre existence, de l’avenir de l’État d’Israël. »

« Je ne crois pas à la puissance multinationale. Quelqu’un doit assurer la sécurité. L’État d’Israël doit insister sur l’avenir de l’État, sur l’avenir de ses habitants, sinon nous perdrons une autre partie de l’État d’Israël. »

 » Si nous signons un contrat, il sera signé entre nous et les Égyptiens, les Américains, les Qataris et d’autres pays. Mais si nous voulons revenir , qui nous laissera ? »