Moscou a « exprimé sa gratitude à la direction du Hamas » et l’agence de presse d’État n’a pas utilisé les termes « organisations terroristes ». Sky News au Royaume-Uni a choisi de mettre en avant « l’état critique » de quatre détenus palestiniens dans son titre principal. Aux États-Unis, la libération des otages a été reléguée en seconde position dans l’actualité. Voici un aperçu de la couverture médiatique mondiale de cette libération.
Couverture médiatique en Russie
La Russie, fidèle à sa ligne pro-Hamas, a maintenu cette position dans ses reportages sur la libération des otages. Selon l’agence de presse publique RIA, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré : « Moscou se félicite de la libération d’Alexandre Tropenov et exprime sa gratitude à la direction du Hamas pour cette décision. »
L’article de RIA a rapporté la libération des otages, y compris Tropenov, citoyen russe, sans utiliser les termes « organisations terroristes » ou « militants armés ». Il a été mentionné que le père de Tropenov « a été tué lors de l’attaque du Hamas », sans préciser qu’il a été assassiné, ni évoquer les atrocités commises lors du massacre du 7 octobre.
Les termes utilisés étaient « mouvements palestiniens » pour désigner le Hamas et le Jihad islamique, tandis que Tsahal était décrit comme « les combattants de l’État juif ».
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