Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, a exprimé sa gratitude envers l’ancien président américain Donald Trump après que ce dernier a suggéré une action militaire sévère contre Gaza si tous les otages n’étaient pas libérés. Toutefois, malgré la menace américaine, seuls trois otages ont été relâchés, ce qui suscite des interrogations sur la stratégie israélienne à venir.
Le soutien ferme de Trump
Donald Trump avait déclaré que les États-Unis étaient prêts à « ouvrir les portes de l’enfer » sur Gaza si le Hamas ne libérait pas immédiatement l’ensemble des otages. Cette déclaration a renforcé la pression diplomatique sur le mouvement palestinien, mais dans les faits, Israël n’a obtenu que la libération de trois captifs.
« Le Premier ministre Netanyahu apprécie grandement le leadership du président Trump et la coordination continue avec les États-Unis », a déclaré le bureau du chef du gouvernement israélien. Il a ajouté que « le renforcement des forces de Tsahal autour de Gaza, combiné à la position ferme du président Trump, a conduit à cette libération, malgré le refus initial du Hamas ».
Quelle suite pour Israël ?
Alors que la libération partielle des otages laisse planer un doute sur l’efficacité des menaces internationales, Netanyahu a souligné que « le président Trump a exprimé son soutien total aux décisions israéliennes concernant la suite des opérations dans la bande de Gaza ».
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